Les bons moments des Forums MB, Dont vous pouvez vous souvenir

[Guest_Perplexe_*]

Voilà, je trouve que ça manque singulièrement d'ambiance, ces temps ci. Bon on a bien eu quelques occasions de rigoler un peu, mais elles se font rares.

Pourtant, les tréfonds du forums recèlent de véritables trésors, des échanges uniques dont vous vous rappelez avec émoi (ou plus ), des blagues stupides, ou des "moments magiques", des instants chargés aussi, tout ce qui sort de la routine et qui vaut le coup d'être déterré de temps à autres, histoire de se dire qu'on n'est pas que amorphe ou technomaniaque.

Déterrons donc, manions la recherche avec ingéniosité (un bon entraînement pour certains ). Mettez des liens, des quotes, et surtout, vos commentaires

Dans la série des sujets insensés

Genèse du trombinoscope MB par Jo Pap.

De Deis à Alizée, il y a des choses immuables (voir également le lien de Siméon en page #1)

Vateurcoulinegue en finesse

Bon il y en a plein d'autres. Ce ne sont que quelques souvenirs. Demain je complèterai.

Px

[ManiX]

La fin. Merci San Kookaï pour ces moments que tu nous offres au milieu de toute cette bassesse ©le Grand Georges.

Avec l'intéropérabilité, j'achéterais plus car je n'aurais pas cette peur d'être enfermé chez un seul fournisseur à vie…

[small]Résumé des épisodes précédents
Après une tentative d'exil puérile, rééduqués dans un camp spécial, nous réalisons enfin grâce au nouveau gouvernement franco-chinois que le salut est dans l'interopérabilité.[/small]

Ce soir, certains des nouveaux rééduqués ont questionné nos geôliers sur l'échéance de notre libération. Vous êtes ici à vie, nous ont-ils répondu. Quelle chance ai-je pensé.

Je préfère la liberté de l'interopérabilité dans un environnement clos, que l'asservissement aux DRM dans un monde ouvert. J'ai écris cette devise sur les murs du camp. Les autres me regardent d'un air torve ; c'est qu'ils n'ont pas encore compris que la liberté est intérieure.

Ce soir, en me couchant sur mon grabat, je remercie notre Grand Timonier d'avoir éclairé ma conscience et d'avoir fait de moi un homme libre. Libre virtuellement bien sûr ; mais ma croyance en cette liberté factice n'est-elle pas finalement plus importante qu'une quelconque utopie ?

FIN