La rubrique ciné, Le coin des cinéphages...

[:..LAOUICHE..:]

Ce genre d'opération est assez rare, c'est dommage.
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Si rares que l'on s'est farcit les vieux épisodes de star wars avant la sortie du 3 tout récemment mais sûrement parce qu'il est encore plus rare qu'une chaîne de télé participe à la production d'un film.

[Leopal]

C'est l'exception qui confirme la règle. Car c'est en effet assez rare...

[:..LAOUICHE..:]

C'est l'exception qui confirme la règle. Car c'est en effet assez rare...
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C'est la même chose pour tous les blockbusters à la chaîne ... Après ça dépend des chaînes de tv, publiques ou privées et des productions auxquelles elles ont participées et sont intéressées... matrix, taxi, les xmen, évidemment que des films avec du "x"




Ce message a été modifié par :..LAOUICHE..: - 14 Jun 2005, 20:15.

[Maître]

C'est l'exception qui confirme la règle. Car c'est en effet assez rare...
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A ma connaissance, les seuls films qui peuvent se permettre de se tourner sans chaîne de télé (et je ne parle pas de canal +) sont les très petits budgets.
Maintenant, il me semble que la participation des chaînes au budget du film n'implique un droit de diffusion que d'un nombre de fois limité et sur une période très limitée. Il arrive souvent que les suites sortent trop tard (ou trop tôt) pour que les chaînes en question puissent en profiter.

[Leopal]

Je sors des "Poupées Russes", il est réussi même si parfois un peu décousu. (surtout au début)
C'est un portrait assez juste de notre recherche amoureuse: l'inscontance et la peur de s'engager d'un côté, l'aspiration au bohneur et la quête de l'être parfait de l'autre, le "papillonage", un certain détachement apparent servant d'armure: je crois que beaucoup vont reconnaitre quelques-uns de leurs travers... moi le premier.
Un film générationnel?

[pikacube]

Un film générationnel?
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une vieille habitude de Klapich

[Leopal]

Au niveau de la tentative, oui: mais ce n'est pas toujours réussi. Pour moi il y a "Le péril jeune", et maintenant "Les poupées Russes"... Je ne considère pas que "L'auberge Espagnole" soit un film générationnel: la coloc et Erasmus ne suffisent pas pour ça.

[:..LAOUICHE..:]

Dans l'Auberge Espagnole, il n'est pas seulement question de coloc et d'Erasmus mais plus de se révéler à soi-même au travers le voyage, de se nourrir de la culture des autres et de se contruire en se déconstruisant... Ceci dit je n'ai pas du tout aimé ce film, l'autre niaise qui joue les effarouchées est insupportable.
La question de génération suppose qu'on la cerne. Aujourd'hui, pas plus qu'hier, à part une tendance générale de ce que l'on interprète subjectivement être une génération, je vois pas trop ce qu'on peut en faire. Evidemment que derrière les noeuds papillons de nos vieux il y avait des idées de papillonnage ! Tu crois que l'inconstance, les rêves, les paradoxes sont générationnels ?
Sagan était-elle une précurseuse (c'est vilain ce mot tiens), Brassens avec sa moustache avait anticipé les village people et les adultères, Brel évoquait les rêves que pour le folklore bah oui biensûr.
Klapisch réalisateur-sociologue

Ce message a été modifié par :..LAOUICHE..: - 15 Jun 2005, 20:12.

[Leopal]

mais plus de se révéler à soi-même au travers le voyage, de se nourrir de la culture des autres et de se contruire en se déconstruisant...

Tu crois que l'inconstance, les rêves, les paradoxes sont générationnels ?
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Oui, mais je n'ai pas trouvé ça convaincant... ca reste un film agréable à regarder.

L'inscontance amoureuse et la papillonage sont générationnels, dans le sens ou ça n'a jamais été aussi répandu. Je ne connais pas beaucoup de gens dans la génération de nos parents qui ont vraiment profité de la libération sexuelle... ne parlons pas des générations précédentes.
Il est vrai qu'à cette époque il n'y avait pas ou peu de rencontres possibles sur le net, sites ou endroits spécialisés, etc... qui ont un réel impact.
De ça découle le paradoxe amoureux actuel: la femme ou l'homme d'une vie, ca reste un rève, mais on est dans un tel processus de consommation qu'on ne se donne pas vraiment le temps, et qu'on s'arrête souvent au premier truc qui déplait.
A ça tu peux rajouter que le culte du corps (qui est donc devenu un objet de consommation) n'a jamais été aussi fort, et aussi décérébré. Merci la pub, les magazines féminins, masculins ou gay, etc... qui ne mettent en avant que cet aspect de l'être, ce qui est un veritable lavage de cerveau.
Donc oui à mon sens c'est générationnel, dans le sens ou ça n'a jamais été aussi fort.

[:..LAOUICHE..:]

mais plus de se révéler à soi-même au travers le voyage, de se nourrir de la culture des autres et de se contruire en se déconstruisant...

Tu crois que l'inconstance, les rêves, les paradoxes sont générationnels ?
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Oui, mais je n'ai pas trouvé ça convaincant... ca reste un film agréable à regarder.

L'inscontance amoureuse et la papillonage sont générationnels, dans le sens ou ça n'a jamais été aussi répandu. Je ne connais pas beaucoup de gens dans la génération de nos parents qui ont vraiment profité de la libération sexuelle...
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Tu déconnes Leo (tu permets ? ) ? Ne me dis pas que tu n'as pas vu "Les valseuses" ? Le libertinage ne date pas du 21 ème siècle, on y trouvera d'ailleurs beaucoup plus d'élégance que dans une tournante bien contemporaine.
Aujourd'hui, on voit la saisie par la mairie de Paris du phénomène des crackeurs dans le 18 ème, le problème des drogues est générationnel également ?
Je crois surtout que la communication a évolué et que ce que l'on vivait en toute liberté, simplicité devient sujet à exhibition consciente ou malgré soi.

ne parlons pas des générations précédentes.

La Libertinage, les orgies romaines... par exemple ?

Il est vrai qu'à cette époque il n'y avait pas ou  peu de rencontres possibles sur le net, sites ou endroits spécialisés, etc... qui ont un réel impact.

Il est possible aussi qu'à la sortie de la guerre, on pensait plus à se butiner dans les champs, à aller draguer dans les bals musettes... Il est vrai aussi qu'à l'époque, Fernandel n'était pas reconnu comme acteur-sociologue.

De ça découle le paradoxe amoureux actuel: la femme ou l'homme d'une vie, ca reste un rève, mais on est dans un tel processus de consommation qu'on ne se donne pas vraiment le temps, et qu'on s'arrête souvent au premier truc qui déplait.

Gainsbourg disait "la femme de sa vie est la femme avec qui l'on vit".
Une histoire a un début et une fin c'est le principe d'une histoire mais ça ne veut pas dire que l'on consomme, ça veut juste que l'on aime, l'amour vit, il peut durer toujours ou non.
"La seule constante est le changement" Buddha.
C'est une idée clichée de rapprocher la façon de vivre l'amour aujourd'hui et la consommation, peut-être qu'il y a juste l'idée alternative d'"amour vivant".
Tu crois que toutes les grand-mères sont restées à vie avec leurs maris par Amour ? Certaines oui biensûr, comme certaines personnes aujourd'hui et d'autres nourissaient des rêves légitimes de femme, d'exister par elles-mêmes, d'assumer l'évolution de leur Amour, de se tirer avec le facteur...
Il y a je crois un beau livre là-dessus "Voyage Vertical" d'Enrique Vila-Matas : un couple de personnes âgées et la femme (80 balais) plaque son mari, lui demande de quitter la maison parce qu'elle se demande qui elle est et veut se découvrir. A force de les bourrer de medocs nos vieux, ils sont devenus trans-générationnels

A ça tu peux rajouter que le culte du corps (qui est donc devenu un objet de consommation) n'a jamais été aussi fort, et aussi décérébré. Merci la pub, les magazines féminins, masculins ou gay, etc... qui ne mettent en avant que cet aspect de l'être, ce qui est un veritable lavage de cerveau.
Donc oui à mon sens c'est générationnel, dans le sens ou ça n'a jamais été aussi fort.

Et les femmes qui se collaient des mouches sur le visage au moyen-âge (c'était déjà de sacrés pêcheurs ) ? Et les grecs qui se cultivaient le corps et les olives ?
Je crois que ce qui est générationnel c'est surtout le nombrilisme, cette capacité à réfléchir sur nous au lieu d'apprendre du monde, de s'ouvrir aux autres, de lire, d'écouter, vivre sa vie, l'inventer et aimer en analysant tout c'est sûrement avoir des problèmes avec soi...

Ce message a été modifié par :..LAOUICHE..: - 15 Jun 2005, 23:48.

[Leopal]

Mouais, pas convaincu... je doute que tu penses sérieusement qu'on peut comparer notre vie sexuelle avec celle de nos grands-parents, ou ceux qui les ont précédé.
Et ce n'est pas avec les mouches, les Grecs ou les Romains que tu vas me convaincre.
Quant aux "Valseuses", c'est un film qu'on trouve amusant aujourd'hui, pas choquant... à l'époque, il y avait des manifestations devant les salles. Pourtant c'était post 68, ce qui te montre l'évolution.

[:..LAOUICHE..:]

Mouais, pas convaincu... je doute que tu penses sérieusement qu'on peut comparer notre vie sexuelle avec celle de nos grands-parents, ou ceux qui les ont précédé.
Et ce n'est pas avec les mouches, les Grecs ou les Romains que tu vas me convaincre.
Quant aux "Valseuses", c'est un film qu'on trouve amusant aujourd'hui, pas choquant... à l'époque, il y avait des manifestations devant les salles. Pourtant c'était post 68, ce qui te montre l'évolution.
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Il ne faut pas confondre choc et réalité non plus.
Une femme qui suce un ours dans un film de boule c'est peut-être plus surprenant mais ce n'est pas un moeurs courant, en revanche, dans "les valseuses" miou-miou se faisant partouser pour qu'elle se déride, ça ressemblait peut-être plus à une réalité de vie, l'illustration de comportement inavoué à une époque de libération sexuelle.
Ce qui choque est la mise en lumière d'une réalité, pas d'une fiction, c'est pour ça que les films d'horreur ont toujours fait rire par exemple.
Aussi pour les mouches etc, désolé mais quand aujourd'hui "toutes" - y a des nanas qui sont hors génération aussi et qui sont juste bien dans leur peau heureusement- les nanas essaient d'avoir les fesses accrochées comme un mannequin de 30 kilos avec des punaises sous les pieds pour qu'elle se tienne droite, l'idée commune est bien l'idée d'un phénomène esthétique de masse et ça,ça n'a rien de nouveau...

Ce message a été modifié par :..LAOUICHE..: - 15 Jun 2005, 23:38.

[Leopal]

Sinon j'ai vu Sin City qui était une de mes grosses attentes. C'est vraiment raté, un peu chiant même, mais heureusement ça se prend pas au serieux, c'est très gore et au final assez fun. Dommage que Rodriguez face un pâle copier/collé de la BD et qu'il ai passé plus de temps à digitalisé des bagnoles et à travaillé l'étalonnage qu'à travaillé sa mise en scène, qui s'en trouve bien plate pour le coup. Heureusement le casting assure le coup (forcément un casting pareil) et le film vieillis bien.
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Le film vieillit bien? Il ne te faut pas beaucoup de recul...
L'indigence du scénar m'a géné, puis je me suis laissé prendre par la beauté de certains plans et la violence traité d'une façon assez marrante et gore. Bref finalement pas si mal...

Et actrice pour Rodriguez doit surment rimer avec "j'ai un cul, regardez moi" les femmes ne sont filmés que de dos en string
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Oui, il faut dire que les actrices ne sont pas gâtées: à part peut-être le rôle de Miho, qui quoique court et muet a pu être marrant à faire.

Sinon je suis allé voir "Batman begins" sur le conseil d'un pote, eh bien c'est une grosse merde. Je préfère encore un film sans scénar et qui l'assume comme "Sin city" qu'un film avec scénar aussi bidon. Ca commence par "les aventures de Bruce Wayne au Tibet", moment presque poilant tellement il est daubesque... après ça redevient un Batman classique, avec effets à gogo, grands méchants, histoire d'amour contrarié, etc... Seul point positif, ça fait plaisir de revoir Michael Caine.
Pas la peine de vous précipiter donc.

[:..LAOUICHE..:]

Et actrice pour Rodriguez doit surment rimer avec "j'ai un cul, regardez moi" les femmes ne sont filmés que de dos en string
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Oui, il faut dire que les actrices ne sont pas gâtées: à part peut-être le rôle de Miho, qui quoique court et muet a pu être marrant à faire.

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C'est vrai qu' Audrey Tutu qui se gratte la tête en marmonnant des phrases incohérentes ça collerait vraiment bien au scénario de Sin City... Un acteur sert une histoire, un scénario, les films de Rodriguez sont ce qu'ils sont, les femmes ne sont pas réduites à mais sont ce qu'elles sont en tant qu'actrices dans un contexte, une histoire.
Elles tiennent parfaitement leur rôle dedans par ailleurs.

"Franck Miller

Créateur de Sin City et coréalisateur.



Considérez-vous l’univers de Sin City comme machiste ?

Je suis un mec. J’aime les femmes fatales, les gros bras et les voitures anciennes. Je prends du plaisir à dessiner des choses amusantes sorties de mes fantasmes intimes. C’est la prérogative de l’auteur de BD.

Etait-il satisfaisant de voir votre univers transposé à l’écran ?

Je n’en reviens toujours pas que nous soyons parvenus à un résultat aussi proche de mon oeuvre. Mon rêve s’est concrétisé. Cette expérience m’a tellement emballé que Robert Rodriguez et moi travaillons déjà sur une suite.

Ne craignez-vous pas que la violence du film heurte les jeunes spectateurs ?

Je ne crois pas à cela. L’histoire du gamin qui a sauté par la fenêtre après avoir vu Superman est une légende urbaine. Les Japonais ont une culture populaire d’une violence inouïe et la délinquance est pourtant beaucoup moins développée au Pays du Soleil-Levant qu’aux Etats-Unis.

Recueilli par Caroline Vié"

C'est quoi cet artiste qui dessine ses fantasmes ?
Vous avez bien de la chance d'être si propres sur vous.

[Leopal]

Ce qui est bien avec toi, c'est qu'on sait à qui s'attendre: par définition, tu n'es jamais d'accord.

[:..LAOUICHE..:]

Ce qui est bien avec toi, c'est qu'on sait à qui s'attendre: par définition, tu n'es jamais d'accord.  
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La base d'une discussion est d'être du même avis ?
Art et opinion ? Bon je vois que tu es sage malgré tout, avec Batman la remise en question n'a pas du être trop violente

[Leopal]

[HS]Ne transforme pas mon propos... c'est une réflexion que je me suis déjà fait en te lisant, c'est tout. Et pas seulement avec moi, ou dans ce topic. [/HS]

[:..LAOUICHE..:]

[HS]Ne transforme pas mon propos... c'est une réflexion que je me suis déjà fait en te lisant, c'est tout. Et pas seulement avec moi, ou dans ce topic. [/HS]
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Tu m'aurais donc dis la même chose si j'étais toujours d'accord ?

"Ce qui est bien avec toi, c'est qu'on sait à qui s'attendre: par définition, tu es toujours d'accord. C'est une réflexion que je me suis déjà fait en te lisant, c'est tout. Et pas seulement avec moi, ou dans ce topic."



Bon allez quand tu discuteras sans voir la contradiction comme contradiction mais juste avec la capacité de partager points de vue et arguments, on poursuivra.

[Puck]

Ca y est vous avez décidé de qui a la plus grosse? On peut reprendre nos discussions sur le cinéma, maitenant?

[Kenjin]

En tout cas, l'iBook 14" du personnage de Xavier est omniprésent à l'image

[Puck]

Oui la pub au cinéma... c'est comme le gros FRANCE TELECOM sur la vitre de la voiture....Bientot les acteurs porteront des panneaux publicitaires et les films ne seront plus que des supports...

[Puck]

Un film générationnel?
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un film esthétique qui finit sur ce qu'il critique tout le long: la recherche du prince charmant.
C'est dommage que ça finisse comme on imagine que le téléfilm que xavier écrit va se finir... avec une pièce du puzzle ... "n'ayons pas peur des clichés" c'est ça non?
Un film générationnel c'est un film que parle avec sincérité de ce qui se passe dans la vie avec des gens/ personnages qui existent. Le problème d'un film comme ça avec un casting aussi parfait, des images aussi léchées, des situations rêvées... c'est qu'il perd toute crédibilité en voulant faire l'unanimité auprès du public et de leurs gouts devenus si cadrés si idéaux finalement si télévisuels.

[Leopal]

un film esthétique qui finit sur ce qu'il critique tout le long: la recherche du prince charmant.

c'est qu'il perd toute crédibilité en voulant faire l'unanimité auprès du public et de leurs gouts devenus si cadrés si idéaux finalement si télévisuels.
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Le prince charmant qui fait le voyage de Moscou, la princesse qui se tape le pire des connards ne colle pas trop avec le conte de fée. Bien sûr ça reste gentillet, mais c'est le but.
Des idéaux télévisuels, je ne sais pas... on est loin de parler comme ça de l'homosexualité féminine - ou masculine d'ailleurs - à la TV, non?

Si je compare avec les trentenaires autour de moi, ce film représente une certaine réalité. Pas la seule, ok...

[Puck]

Au contraire ça rentre parfaitement dans l'architecture du conte de fée...
Le prince charmant dans les contes de fées hésitent souvent entre deux filles ( Voir la petite sirène) mais choisi toujours la bonne.
La princesse subit souvent le comportement violent de son entourage ( CF cendrillon) mais s'en libère grâce au prince charmant...


C'est sûr qu'il parle d'homosexualité féminine mais il faut voir comment:
- les lesbiennes sortent qu'entre elles, sont infidèles, se droguent
- les lesbiennes ne mettent pas de robes c'est ringard et s'habillent comme des hommes ... ( Isabelle en tailleur pantalon type smoking..il lui manque plus que la cravate et c'est gagné...)



Ce message a été modifié par Puck - 21 Jun 2005, 12:00.

[Leopal]

Ben moi, ce monde interlope un peu drogué, ca me parle... un smoking sur une jolie femme aussi d'ailleurs.

[Puck]

Oui mais ça reste un cliché

[Leopal]

Pour des gens très urbain comme nous, sans doute un peu.
Mais c'est un petite minorité des gens qui iront voir ce film, qui va faire un carton: aux alentours de 3 millions.

[Puck]

Bah justement ce serait bien que les gens en général arrêtent de croire qu'être lesbienne c'est se faire des rails sur des tables en verre, écouter de l'éléctro et s'habiller en tailleur....

[Kalomir]

Bah justement ce serait bien que les gens en général arrêtent de croire qu'être lesbienne c'est se faire des rails sur des tables en verre, écouter de l'éléctro et s'habiller en tailleur....

Y a des gens qui croient ça ?
Fascinant, la connerie se porte bien dirait-on.

[radieuse]

Bah justement ce serait bien que les gens en général arrêtent de croire qu'être lesbienne c'est se  faire des rails sur des tables en verre, écouter de l'éléctro et s'habiller en tailleur....
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Ben moi qui suis de la campagne profonde, je pensais que "rails sur des tables en verre" c'était plutot VIP.
Quant aux lesbiennes, je préfère pas en parler car j'ai du boulot et il faut que je reste calme

PS : comme l'humour n'est pas la chose la mieux partagée, je précise que je ne suis pas homophobe