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Message
#1
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![]() Nouveau Membre Groupe : Membres Messages : 26 Inscrit : 1 Nov 2004 Membre no 26 138 ![]() |
J'envisage de remplacer une epson 1520 si lente que j'essaie de m'en passer le plus possible (pas à cause de buses bouchées, mais bourrage>passage des feuilles à l'unité etc.)
J'ai lu de nombreux topics parus en 2003 et cette année (notamnt rip et épreuvage coul), mais ils ne dégagent pas vraiment les besoins (donc les critères) recherchés ; en général le point n°1 évoqué c'est la fidélité colorielle, puis de façon moins explicite "la fiabilité et reproductibilité du procédé d'impression" La destination de l'impression n'est pas suffisament précisée. Je pense que celui qui imprime de la photo (en 10x15, A4 et meme A3) n'a pas du tout la meme attente qu'un graphiste (ce qui est mon cas) qui doit "sortir" de la maquette (toujours en A3 et mieux en A3+ pour les doubles pages) afin de valider un choix d'harmonies couleur, puis un/des choix typo, puis une/des "composition textes/images" et de façons successives jusqu'à satisfaction et présentation de son projet créatif (entendu au niveau le plus simple ![]() Et là, de nombreuses impressions se succèdent avec toujours le sentiment que les choses ne vont vraiment pas assez vite; quand d'autres soucis ne pointent pas le bout du nez ![]() Quand on a travaillé avec une laser couleur (canon, par exemple en agence), on a vite fait le choix pour abandonner l'épreuvage couleur au service prépresse de l'imprimeur. En indépendant, le choix ne se pose pas vu le coût amortissement/copie (prix machine + consommables). On se porte tt de suite vers la meilleure machine jet d'encre possible. Mais aujourd'hui, pour un graphiste, la fidélité couleur peut-il être encore le critère number one au vu de la qualité plutot homogène proposée par les fabricants (hors la fiabilité mécanique ![]() Le point crucial, pour moi, c'est la vitesse d'impression (après transmission du fichier à la bécane ), ensuite éventuellement le coût au A3 (critère plutot faible, puisque cela se revend dans le cadre d'une prestation professionnelle) Dans ce cas de figure, bien entendu sans autre soucis annexes, aujourd'hui la seule imprimante qui puisse satisfaire ce point essentiel à mes yeux serait la Canon i9950 annoncée avc une impression de 3/4 minutes pour un A3 Wooooow Par ailleurs elle est immédiatement connectable sur OSX (silencieuse aussi ) Mais cette annonce Canon, est-ce bien réel, ou de l'Xfiling (quoique sur Tom's Hardware on peut voir une double tête d'impression impressionnante ![]() > Quelqu'un ici a-t'il déjà testé/utilisé cette machine (prix proposé±600euros) > Est'elle ripable ? (est-ce toujours nécessaire depuis inDesign?) > Supporte t'elle les papiers mat (non brillants) et hors marque (c a dire non canon) Le problème de ces imprimantes, qui paraissent si fragiles (pur plastoc de chez lui-même), c'est qu'on les imagine mal durer plus de 18 mois/2ans dans un cadre semipro (et encore mais à ce prix là ![]() Merci pour vos remontées d'utilisateurs et vos critères d'usagers (graphiste ou photographe) -------------------- G5 bi1.8 10.3.4 2Go/DD160 modem Eci-inovia- AC211
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Guest_claude72_* |
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Message
#2
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Guests ![]() |
"tous les concurents proposent une aussi bonne qualité d'impresion avec des cartouches (originales !) bien moins couteuses
"
TOUS les fabricants d'imprimantes sont en train de passer aux cartouches dites "intelligentes"... c'est présenté comme une technologie fantastique et révolutionnaire qui permet à l'utilisateur de connaître exactement la quantité d'encre restante dans les cartouches, et accessoirement (mais ça n'est pas dit) ça empêche le rechargement. Donc Epson est pour le moment un précurseur dans le domaine, mais à long terme, ça deviendra le standard. Comme dans les systèmes laser couleur (allant de l'imprimante genre Epson C900 jusqu'aux gros copieurs connectés), où TOUS les photoconducteurs de toutes les marques sont équipés de systèmes de comptage plus ou moins évolués, tous destinés à obliger l'utilisateur à changer le photoconducteur (et il me semble que selon la loi française, ce système est illégal, puisque c'est de la vente forcée...). "A 69 le Rip et 20 le profil (établi sur le papier et les encres utilisés), je pense que je ferais le pas. Je te tiendrais au courant" OK, mais mon côté pessimiste me dit que tu auras probablement besoin de plusieurs profils, pour plusieurs papiers différents (2 ou 3, voire 4) : et c'est là que le service commence à rapporter ;-)) (4 profils = 80 euros + 69 de RIP = 149 euros...) Ok pour le "diterhing"... j'ai toujours utilisé la 1520 avec son Stylus RIP et je n'ai, en fait, jamais installé le driver normal EPSON non-postscript... donc je n'avais jamais vu ce mot. Par contre je connais assez bien les trames stochastiques, ou trames aléatoires ou trames à modulation de fréquence, puisque j'ai fait des essais d'impression offset avec ce système : le résultat est magnifique et bluffant. Les détails sont d'une finesse inégalée, il n'y a plus de "rosettes" et, comme tu le dis, il n'y a plus aucun moirage. Chez Agfa, ça s'appelle le "Cristal Raster". Dans sa version la plus fine (CR25), ça bosse avec des points de 7 microns pour les plus petits, sachant que non seulement la disposition des points est "aléatoire", mais aussi la taille des points est variable... À l'époque il me semble me souvenir que c'était comparé avec de la trame 250, voire même 300... (sous réserve). Pour avoir des points aussi fins il faut une flasheuse performante (3600 dpi avec un faisceau laser à vraiment 3600 dpi) du genre SelectSet ou Avantra (9836 s'abstenir), et pour pouvoir les copier correctement sur une plaque, il faut un chassis de copie de très bonne qualité et des montages sans aucun bord de film, donc déjà imposés (travail en CTF au minimum), ce qui a été un premier frein au développement de cette technologie car, à l'époque, peu de flasheurs avaient compris que dans l'imprimerie on n'imprime pas les pages une par une et ils nous livraient joyeusement un film par page ou 4 films pour une page quadri... il était quasiment impossible d'obtenir ne serait-ce que les films imposés par deux pages !!! Donc il fallait monter les films, et mettre le diffuseur à la copie pour supprimer les bords de films, et ça dégageait aussi la moitié des points de la trame stochastique... (et accessoirement les filets maigres d'XPress : c'était une de raisons pour recommander de ne pas les utiliser). Deuxième problème, le prix de l'option trame aléatoire : chez Agfa en 1997, c'était 60000 francs HT... gloups !!! Option chère + flasheuse performante + travail à 3600 dpi (donc flashage plus long) + imposition électronique = films (beaucoup) plus chers, et comme en plus c'était très délicat à imprimer, tout le monde l'a abandonné. Dommage. Pour faciliter l'utilisation, Agfa avait ensuite sorti les trames CR35 et CR50, avec des points plus gros, donc nécessitant une flasheuse un peu moins performante et sortant des films plus faciles à copier, mais l'impression n'était pas aussi belle. Effectivement, cette technologie est maintenant reprise sur les imprimantes jet-d'encre, sous l'appellation grand-public : "imprimantes à brouillard de points" et donne de très beaux résultats. Malheureusement tellement beaux, que ça n'a plus rien à voir avec ce qui va sortir d'une machine offset, et ça arrive même à rendre corrects des trucs merdeux, du genre textes écrits avec Photoshop et logos JPEG (autrement dit : la technologie au secours de l'incompétence)... et comme il faut impérativement refaire tout ça en vectoriel avant de pouvoir flasher le documents, c'est un vrai casse-tête pour le pré-presse... C'est la vie !!! Ce message a été modifié par claude72 - 18 Nov 2004, 19:45. |
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