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Message
#1
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![]() Adepte de Macbidouille ![]() Groupe : Membres Messages : 229 Inscrit : 8 Jun 2007 Lieu : Southampton Membre no 88 163 ![]() |
Bon... il y a une rubrique pour la musique et pas pour les livres (ou en tout cas je l'ai pas trouvé)
C'est les vacances d'été et je ne sais pas encore ce que je vais lire... des idées. Dans ceux qui sont dans mon cas je leur conseils Homo Disparitus d'Alan Weisman un régal!!!! -------------------- Come get some
Powermac G4 gigabit ethernet 2*450MHz /640Mo RAM (PC133)/150Go HD (7200)/ATI RAGE 128 PRO - 10.4.11 Powermac G4 gigabit ethernet corei7 2600k 3.6 GHz / 8 Go RAM (DDR3 1600 MHz) /3 To HD (7200) / Sapphire HD6870 - 10.7.0 (oui oui ça existe !) MacbookPro 2009 core2duo 2.8 GHz / 8 Go RAM (DDR3 1067 MHz) / Vertex Agility 4 256 Go /GeForce 9600M 512Mo _ 9400M - 10.8 MacbookPro 2017 corei5 3.1 GHz / 16 Go RAM (LPDDR3 2133 MHz) / 512 Go / Intel Iris Plus 650 - 10.13.6 |
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Message
#2
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![]() Macbidouilleuse inclassable ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Membres Messages : 1 275 Inscrit : 20 Feb 2008 Lieu : L'été à Poil, l'hiver à Plumes... Membre no 108 225 ![]() |
J'ai terminé la semaine dernière "Je, François Villon", (Pocket), de Jean Teulé (qui a écrit aussi "Darling", qui vient d'être adapté au cinéma par Christine Carrière, avec Marina Foïs et Guillaume Canet).
Sinon, aujourd'hui, j'ai acheté "Petit éloge de la douceur", de Stéphane Audeguy. (Folio). Pas cher : 2 euros ! ![]() et je ne résiste pas à vous lire quelques passages : Faiblesse - De la douceur à la faiblesse, la différence est évidemment la disparition de la fermeté ; ce n'est qu'une question de degré. Incorporels - Certains esprits se délectent de paradoxes tels que celui-ci : si j'achète un vélo et qu'en dix ans, de temps en temps je remplace, de loin en loin, chacune des pièces qui le composent, aurai-je changé de vélo ? Il faut méditer sur le devenir doux des choses : que signifie grandir, ou verdir, ou mourir ? Scat - Le scat, cette façon de moduler des sons pour remplacer les paroles d'une chanson, est peut-être une technique aussi vieille que le jazz. En 1957, Ella Fitzgerald s'exclame, dans "Oh Lady Be Good", au milieu d'un de ses plus beaux scats : "je ne sais pas où je vais mais j'y vais, j'y vais". Tout le scat est là, dans cet allant, dans cette jubilation des puissances de la voix, dans ce pur plaisir revendiqué de la phonation articulée (on ne chante pas en "yaourt"), mais affranchie du sens. Le scat est l'élégance même de la liberté, et la maîtrise nonchalante d'une Sarah Vaughan, par exemple, se résume en un mot : tenue. Parfois l'artiste invite le public à s'essayer à cet art : l'exemple le plus connu est la performance de Cab Calloway, alors âgé de soixante-treize ans, dans le film des Blues Brothers. Mais ce genre de joutes gaiement agonistiques procure au public d'autant plus de plaisir qu'il sait pertinemment qu'il en sortira défait, et admiratif. Silences - Rechercher la compagnie des êtres avec qui l'on peut se permettre de ne pas parler, y compris pour converser avec eux. Bon. C'est assez étrange, mais y'a de quoi faire... ![]() -------------------- High Sierra 10.13.6 sur MBP 13" mi-2010 C2D 2,4 GHz, 8Go, SSDk. Firefox 95.0.2 (ou Safari 13.1.2). Souris Wild Mulotte. Imprim : Epson XP2100 wifi bouffeuse d'encre au prix du caviar. Aussi un iBook G3 turquoise, système Os 9.2 (voir le "lifting" de la Venerupis corrugata ?)... (mais plus en activité). Plus un LaCie Rugged mobile HD orange 500 GB triple interface. Et enfin, une Pépette de compétition avec qui je suis in love.
~~ "Mais alors, dit Alice, si le monde n'a absolument aucun sens, qui nous empêche d'en inventer un ?" ~~ |
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