Salut à tous,
J'utilise beaucoup moins la suite Adobe parce que je suis à la retraite même si je continue mon activité professionnelle.
Sauf que pour le web, je n'ouvre pratiquement plus DW.
Pour la vidéo pro, j'utilise FCP. (Je n'ai jamais utilisé After Effect et Première).
Pour la mise en page, l'utilisation d'Indesign et Illustrator devient très irrégulière.
Il me reste Photoshop que j'emploie presque quotidiennement.
Vous me direz donc: "mais pourquoi ne changes-tu pas ton abonnement CC pour seulement Photoshop + Lightroom? et pourquoi pas changer la formule d'abonnement lorsque le besoin est là?"
Et c'est là que vient ma question.
Les derniers avis sur Affinity datent de 2019.
Je vais télécharger Affinity pour l'essai gratuit, mais un essai ne vaut jamais l'expérience approfondie. J'aurais donc aimé avoir le feedback d'un pro qui utiliserait la Suite Affinity et savoir s'il y a des contraintes.
Vaut-il mieux faire un mix des deux? Photoshop + Affinity publisher + Affinity designer.
Franchement, Affinity Photo fait 90% de ce que fait Photoshop en aussi bien. Il y'a un temps d'adaptation, c'est sur, mais ça vaut le coup.
Affinity Publisher est aussi très bien (fonctions, ergonomie), mais je ne l'ai pas utilisé en production, donc je ne sais pas ce qu'il en est de la compatibilité des fichiers au Print.
Pour Affinity Designer, je suis un peu plus circonspect, je n'ai pas réussi à trouver un rythme de production équivalent à Illustrator, certaines fonctions et raccourcis d'Illustrator n'existent pas encore chez Affinity. À améliorer à mon avis.
Affinity Photo ouvre les PSD sans problèmes, même quand ils sont assez complexes. Y compris avec des objets dynamiques, par contre, de mémoire, ils ne sont plus dynamiques. Les transparences, les modes de fusion fonctionnent bien aussi. Pour les fontes, pas noté de problèmes non plus. Qu'entends tu par "découpes"? Des formes de découpe pour du façonnage?
A noter qu'en cas de résiliation de ton abonnement, tu conserves les avantages d'un abonnement gratuit :
• https://helpx.adobe.com/ch_fr/creative-cloud/help/benefits-creative-cloud-free-membership.html
Merci Grib, Neutral_ch, Baron, Cri-cri... que d'infos pertinentes.
Je peux déjà en conclure que pour ma fille qui vient de s'acheter un Canon Eos RP pourrait directement s'orienter vers Affinity Photo au lieu d'envisager les contraintes d'un partage de Photoshop CC ou d'un abonnement à 20€ par mois. Affinity semble proposer les outils essentiels pour le traitement d'image.
Pour moi, j'hésite à quitter maintenant Photoshop parce que j'y suis tellement habitué que j'y travaille vite et que c'est mon principal outil avec Filemaker de traitement de ma banque d'image en ligne professionnelle.
En fait je n'ai pas encore vu s'il y a des scripts comme les actions de Photoshop dans Affinity photo. Pour moi, c'est essentiel en production.
Là-dessus, si quelqu'un sait donner un avis.
Pour la suite CC, comme je l'ai dit, mon usage actuel est vraiment réduit et je pourrais basculer dans l'abonnement Adobe vers l'abonnement uniquement Photoshop-Lightroom.
Si j'ai bien compris vos posts, je peux interrompre maintenant tout mon abonnement CC puisque j'y suis depuis plusieurs années mais si je bascule, je suis reparti pour un an et si j'y reviens pour un job, je suis aussi reparti pour un an. Exact?
Imaginons que j'abandonne Indesign et qu'en septembre j'ai une commande de brochure, je rechange mon abonnement et je suis reparti pour un an sur la nouvelle formule ou bien si je remodifie mon abonnement en octobre vers Photoshop/LR, ça change immédiatement le tarif.
Pour moi, ce n'est pas encore clair.
En tout cas, je me plonge déjà dans les tutos Affinity pour en savoir plus sur les possibilités.
Je suis dans le même cas : beaucoup moins besoin de la suite print Adobe.
Et la suite Affinity est une bonne option, pour pas cher !
À propos de l'abonnement annuel Adobe CC, quand j'ai démarré la procédure de résiliation, j'ai eu immédiatement droit en retour d'Adobe à une pénalité à régler cash valant 50% des mensualités restant dues jusqu'à la date de renouvellement.
C'est compréhensible… sauf qu'il n'est jamais indiqué à quelle date précise l'abonné doit s'exprimer pour résilier : un mois jour pour jour avant la date ? Ou 3 mois avant ? Ou… ?
Pour l'instant j'ai décidé de continuer jusqu'au bout mais je ne sais toujours pas à quelle date arrêter l'abonnement.
Ce n'est pas clair du tout.
Ok, le mieux c'est d'appeler Adobe, alors. Je le fais.
Affinity propose une suite de qualité élevée qui entre en compétition avec celle d'Adobe… https://affinity.serif.com/fr/store/ que la seule crainte qu'on puisse avoir serait qu'ils manquent de moyens à court terme et ne jettent l'éponge.
Pour le coup, ce serait vraiment regrettable de ne plus disposer d'aucun concurrent face à Adobe.
Aussi, je me dis qu'après un court essai en mode gratuit, c'est une bonne pratique que payer le prix modique de ces applis… ne serait-ce que pour les soutenir, un peu comme on peut le faire avec des sharewares méritants.
Après lecture de didacticiels, je viens de tester quelques opérations de base comme :
- le développement RAW
- l'usage de LUT
- les macros
Mon avis:
Globalement, même si je ne maîtrise pas encore le logiciel, j'arrive à faire les opérations nécessaires.
Pour les macros ce n'est pas encore évident, la version gratuite n'enregistre pas mes macros, donc je ne peux pas vraiment tester et pour moi c'est important.
Mais les fonctionnalités existent, donc ça devrait marcher.
Affinity accepte aussi l'importation de LUT, pratique pour celui qui en possède déjà à l'usage dans d'autres logiciels.
On peut aussi assez aisément en réaliser soi-même à partir de photos existantes.
Pour le développement RAW:
- Affinity ne reconnaît pas mon 70-300 USM 2, il reconnaît le 1. Ce n'est pas très important. Cette optique n'a pas vraiment de problèmes. Je vais voir si les profils de mes autres optiques sont reconnus.
- Affinity développe les photos une par une, je n'ai pas trouvé de fonction pour en traiter plusieurs en même temps, ça risque donc de prendre beaucoup plus de temps.
- Pas non plus de développement "auto". Assez pratique dans Photoshop pour avoir un réglage de départ en un clic et le retoucher en suite.
Donc en bref, Affinity marche assez bien et devrait convenir à la majorité des utilisateurs pour le travail courant.
Au delà, il faut approfondir.
Bonjour les péaoïstes,
J'ai été formé "à l'école" sur Illustrator et ça a été assez difficile au début de m'adapter à Affinity Designer,
les didacticiels ne me convenaient pour apprendre ce que je voulais faire avec. Mais j'ai fini par m'y faire.
Je dirais que l'avantage avec Affinity, c'est le prix, mais je ne suis pas sûr que Aff.
Designer puisse totalement remplacer Illustrator. Ce dernier me parait toujours plus complet,
même si je ne bosse plus avec.
Pour la plupart des tâches courantes, oui, ça le fait. J'avais par exemple des cadrans d'horloge à réaliser
et après avoir pataugé un peu ça s'est avéré assez simple.
Je n'ai pas encore acheté Affinity Publisher dont on m'a dit le plus grand bien, il paraît même qu'il remplace
InDesign sans problème.
J'ai une autre approche vis à vis d'une question sur Affinity VS Adobe.
Pensez-vous qu'un apprenti peut se présenter aux examens finaux pour graphiste, avec Affinity et non Adobe pour logiciels de travail, sans avoir d'inconvénients? (Acrobat, éventuellement..)
J'aime bien l'idée, à la limite du: rien que pour faire ch*** je vais le faire! N'aimant pas le système chez Adobe, depuis le paiement par mois. J'ai une année devant moi, ayant les 2 et Affinity depuis peu (boulot pas trop le temps de test). Votre opinion, pour les plus expérimentés, m'intéresse. (semi sérieux, pas besoin d'être trop à cheval sur la question).
Autrefois, on a connu l'hégémonie Quark X Press… ils ont tout fait pour bien pourrir la vie des utilisateurs, parmi lesquels il y avait évidemment des débutants sans moyens pour qui c'était compliqué de faire sans ce logiciel.
Et puis Adobe a réussi son coup avec inDesign qui s'est fait une place costaude contre X Press en quelques années.
Je ne sais pas où en est Quark en 2021…
Ce que j'ai retenu c'est que leur arrogance les a bel et bien perdus… et c'est bien fait pour eux, na
Je souhaite à l'équipe d'Affinity de réussir leur percée, à leur tour.
Cependant, comme vous dites pour les jeunes, ce sera difficile d'être recruté sans la pratique des outils Adobe.
A la sortie de mes études graphiques, j'avais m'était rendu compte de la différence entre l'univers graphique des études (très théorique) et l'univers professionnel (très pratique).
A l'époque, le numérique n'existait pas.
J'ai eu la confirmation de nombreuses années plus tard lorsque j'ai donné cours en supérieur dans une école d'art graphique très connue en Belgique.
Même si tout se passait sur Mac et que les logiciels utilisés étaient à peu de chose près les mêmes que dans la profession, c'est au niveau de l'aspect pratique que les choses n'avaient pas vraiment changé.
En résumé, je ne vois aucun inconvénient à l'utilisation d'Affinity pendant les études ou pendant l'activité professionnelle.
Le problème n'est pas là.
Lorsqu'on entre dans l'activité professionnelle, on entre dans un réseau dans lequel les documents s'échangent, entre client et graphiste, entre graphiste et imprimeur, webmaster, média audiovisuels et sous-traitant divers.
Un freelance, par exemple, devra connaître les logiciels de la plateforme sur laquelle il devra travailler, par contre, l'indépendant gérant son propre studio choisira selon ses moyens, ses envies, ses choix commerciaux...
Comme exemple de choix, si j'en reviens à Affinity photo vs Photoshop, si je veux être productif, mon choix aujourd'hui sera Photoshop pour la possibilité de traiter des RAWs en série ou pour les macros/action plus simples à réaliser (selon ma courte expérience d'Affinity photo aujourd'hui).
Surtout qu'aujourd'hui, on n'est plus obligé de sortir beaucoup de cash pour un logiciel qui peut se louer par mois.
Par contre, dans le cas d'une association, une PME, etc. L'achat d'une licence à faible coût sera plus pertinente pour une question de budget final.
Je vais d'ailleurs approfondir mes connaissances dans la suite Affinity pour vraiment apprécier les possibilités.
Un dernier mot à propos d'Xpress.
Ce logiciel a été de nombreuses années mon logiciel de base, j'y faisais même mes factures.
Simple et efficace, Xpress s'est fait doubler progressivement par Indesign juste après le rachat de Freehand par Adobe.
Adobe a vraiment trouvé dans la technologie et l'ergonomie de Freehand de quoi dépasser Xpress.
Quelques plus ont fait la différence: des outils plus variés, une gestion des tableaux beaucoup plus intuitive, des feuilles de style plus complexes, etc.
Résultat, Xpress est resté un temps la référence en édition mais a perdu progressivement l'adhésion des graphistes.
La faute à qui?
À Quark qui a roulé sur ses acquis? Adobe qui a mieux flairé le marché?
Manquait-il à Quark une vraie suite logicielle avec un logiciel de dessin et un logiciel de photo?
La messe est dite pour ces deux-là mais espérons qu'il restera des concurrents. La concurrence, c'est bon pour tout le monde.
Et finalement, cet été, faute de commandes suffisantes, je n'ai gardé que Photoshop et LR dans ma suite Adobe.
Pour le reste, Final Cut en vidéo et les CMS me suffisent.
Et puis, une petite commande tombe et je me mets enfin à Affinity Publisher.
Finalement assez simple d'emploi et intuitif... un peu de patience pour retrouver ses repères par rapport à Indesign et Xpress que j'ai manipulé pendant des dizaines d'années. Pas toujours évident de remplacer des automatismes.
Publisher fait le job. J'ai envoyé quelques pdfs à l'impression.
Premier bilan:
- Il me manque Acrobat pro pour bien vérifier les sorties PDF. Sans contrôle des couleurs et surimpressions, je ne suis pas 100% à l'aise.
- La gestion des feuilles de style me semble moins évidente, probablement pas assez de pratique.
Je crois qu'Affinity améliore ses logiciels pas à pas.
- La gestion des blocs images est moins précise que dans Ind. On ne peut pas tout avoir.
- Il faut reprendre l'habitude de chercher des fontes ailleurs que sur le DB en libre service d'Adobe.
- je n'ai pas trouvé comment éditer précisément les guides.
- la gestion de la palette de couleur... pas encore ça.
- l'interface parfois un peu mystérieuse.
Satisfecit quand même pour Publisher. Pas de plantage. Rapide, efficace... Je n'ai pas été jusqu'au bout des possibilistés du logiciel mais il y a de quoi faire.
Si vous n'avez pas envie d'engloutir 600 € par an dans une suite dont vous n'utilisez qu'une petite partie... Affinity est un bon plan.
Par contre, si vous êtes dans l'ultra productif, le montant de l'abonnement Adobe ne pèse pas lourd face au gain de productivité si vous devez réapprendre une nouvelle suite.
Pour le débutant, il en va tout autrement. Affinity est plus simple et fait contrepoids face au mastodonte.
Merci pour ce retour d'expérience Ducace
@Ducace
Les guides sont “gérés” dans le Menu Affichage –> Gestionnaire de guides... avec une fenêtre spécifique d'un autre âge, très peu pratique... alors qu'un simple double click sur un guide pourrait faire l'affaire en affichant une boîte de dialogue de la coordonnées !... Indesign est plus intelligent en gérant les repères comme des objets que l'on peut copier-coller-couper, même d'un document à l'autre, ou encore répartir (Palette Alignement).
Utilisant les logiciels Adobe depuis des décennies, j'ai passé pas mal de temps sur la suite Affinity l'année dernière avec l'espoir de pouvoir me “débarrasser” d'Adobe. Malheureusement, je reviens vers Illustrator, Photoshop et Indesign (et aussi Acrobat et After Effects) : les passerelles au sein de la suite sont assez poussées et apportent confort, productivité, souplesse et assurance dans sa chaîne de fabrication. Je continue à éditer mes quelques fichiers Affinity quand le besoin s'en fait sentir.
La suite Affinity a quelques points forts à mon avis : facilité d'installation, très peu de fichiers installés (et il n'y en a pas partout à tous les étages du système comme avec la CC), lancement rapide des logiciels et un p'tit brin de nouveauté dans l'interface qui rend tout ça assez sexy... et nous change la vie. Le début du développement de cette suite est récent et on peut légitimement penser que les bases établies sont plus modernes qu'avec Adobe qui traîne certainement les boulets de ses différentes phases de programmation (sur Mac comme sur PC et tablette) depuis maintenant 40 ans. Gage qu'Affinity aura peut-être plus de souplesse pour évoluer... Et cette boîte livre des mises à jour assez souvent, ce qui est cool, et fait évoluer ces 3 logiciels en parallèle. Et il serait étonnant qu'Affinity n'ait pas un logiciel de montage vidéo dans ses cartons ni un logiciel 3D...
La qualité des fichiers Affinity générés me semble très bonne, sans avoir tenter toutefois un envoi de PDF chez un imprimeur !... Car en production, il semble impossible de changer son fusil d'épaule en cours de réalisation. Si on choisi Affinity Publisher pour la composition d'un catalogue ou d'un livre, on doit aller jusqu'au bout (créa-exé-fab) en utilisant le même logiciel. Donc, c'est un engagement qui impose et ne doit pas être pris à la légère.
Je pense qu'il faut aussi un certain état d'esprit pour faire cette migration et partir du principe que “Oui, je vais gagner de l'argent en passant sous Affinity avec sa licence sans abonnement/perpétuelle, mais je risque de ne pas pouvoir faire tout comme avant avec Adobe”. Il faut aussi avoir du temps à y consacrer, car chercher une fonction désespérément (que l'on trouvait naturellement avec la CC par habitude) en allant fouiller dans l'Aide (en français heureusement) sans réponse, alors que cette fonction n'existe pas (encore ?...) est assez frustrant, voire très agaçant, obligeant à sortir son cerveau afin de contourner l'impasse et innover, ce qui en phase de production peut-être périlleux !...
Après, aucun intérêt à utiliser les deux suites en parallèle, il faut faire un choix et c'est peut-être les deux autres bouts de la chaîne qui décideront : le Client (avec ses années d'archives passées sous Adobe) et les Fournisseurs de service (Imprimeurs-Fabricants) et autres Diffuseurs-Opérateurs qui ont des machines et process éprouvés avec Adobe.
L'autre point fort de la CC est son innovation initiale (le code PostScript de description de page) et sa longévité qui lui ont permis d'établir par le fait des standards dans l'industrie des arts graphiques jusqu'à atteindre une certaine maturité. Les logiciels Adobe sont matures : on ne peut pas dire qu'ils ne plantent jamais, mais ils sont matures, avec l'essentielles des fonctions que demandent leurs utilisateurs et bien plus. La concurrence devra faire preuve d'une énorme créativité pour supplanter Adobe. Affinity a été très “créatif” en proposant une suite relativement bon marché. Mais bon, acheter est une chose, utiliser en est une autre. Et d'ailleurs, est-ce qu'Affinity désire vraiment remplacer Adobe ?... Après, certains graphistes vont devenir des as avec cette nouvelle suite, sans aucun doute, car elle est sur une bonne dynamique avec un début de notoriété, alors qu'Adobe est devenue une vieille dame maintenant, tout à fait charmante, avec un peu d'embonpoint quand même dans son lit douillet, mais qui a besoin de sa retraite et désire avant tout une pension de plus en plus élevée chaque mois ...
Dernière chose : est-ce qu'il y a urgence ?... Est-ce qu'Adobe va fermer ses portes ?... Est-ce qu'un client va vous imposer un jour de bosser sous Affinity ?... Est-ce qu'il y a compétition entre les graphistes pour abandonner Adobe au profit du nouveau venu ?... Ma seule crainte depuis quelque temps est informatique (réseau) et cette dépendance que l'on vit tous avec ces licences qui demandent (imposent) des connexions de vérification/blocage avec les fournisseurs de matos et de logiciels. Que j'aimais ce temps révolu où je pouvais bosser avec une simple lampe de bureau (et un peu de chauffage), une table à dessin avec des Rotring, une grattiche, des supports de montage, de la photocomposition, un aérographe et des encres de couleur !...
NB : petite pique tout à fait amicale aux graphistes qui sont toujours accrochés comme des moules à QuarkXpress. Les amis, serait temps que vous lâchiez cette antiquité, des alternatives existent !... La vérité est ailleurs !...
Trop paresseux pour m'acharner à quitter Indesign (et Ai et Ps) et aussi parce que j'ai un fil de travaux qui justifientt l'abonnement Adobe, je n'ai fait qu'un petit tour avec Affinity Publisher…
J'ai honte
En revanche, j'ai saisi comment passer de iDesign à Publisher avec des travaux faits sous inDesign :
Le bon outil (sous inDesign) est Assemblage avec les options principales :
- Documents fonts
- Links
- le fichier.indd
- le fichier.idml
C'est ce dernier fichier.idml qui est parfait pour l'ouvrir avec Affinity Publisher… puis continuer avec les options spécifiques de ce logiciel.
Depuis, tout en continuant avec mon abonnement annuel Adobe, je prends soin de bien nettoyer mes dossiers inDesign et conserver un dossier d'assemblage propre avec mes fichiers.indd et les fichiers.idml.
Cela permettra la transition.
Aussi, pour une moindre fatigue visuelle, je me suis attaché à disposer les outils Affinity Publisher de façon similaire à ceux d'inDesign (2ème écran à gauche du principal).
D coup, c'est moins perturbant pour un cerveau âgé…
De la même manière qu'enregistrer l'avancement de son fichier du jour (surtout pour des gros travaux d'illustration, compo et montage photo) en le dupliquant et l'incrémentant (Fichier_01, Fichier 02...), on devrait prendre l'habitude pour Indesign de générer cet export en IDML tous les soirs, absolument g4hd... Ça prend 1 minute !...
J’ai réalisé un document plus complexe avec Publisher, qui a été imprimé impeccablement sur les presses de la CE.
Je confirme, ça marche. Et plutôt bien. Les feuilles de styles sont très efficaces dès qu’on les gère correctement.
Je n’ai pas encore trouvé la bonne méthode d’utilisation de la palette de couleur.
J’aimerais pouvoir créer une couleur, la sauvegarder et l’utiliser ensuite avec la possibilité de la modifier comme une feuille de style.
Qualifier la couleur de premier-plan. Puis, dans la Palette “Échantillons” –> “Ajouter une couleur globale...”. Une petite vignette carrée avec un coin blanc devrait apparaître au bas de la Palette. Cette couleur fera partie de la Palette du Document. Il faut choisir cette “collection” dans le menu idoine, comme d'autres Gris, Couleurs, Dégradés ou encore PANTONE...
Un truc assez déroutant sur Publisher : impossible de coloriser le fond d'un bloc de texte. Il n'y a (ou je n'ai pas trouvé la manip) que la possibilité de coloriser le texte !... Alors que dans la Palette Caractère, on peut en plus définir une couleur d'arrière-plan d'une lettre, d'un mot ou de plusieurs mots, ce qui ne me semble pas être d'un grand intérêt. Mais bon !...
Oops !... Merci iPantoufle, je n'avais jamais remarqué (et donc ouvert) cette Palette “Zone de texte”...
Qualifier la couleur de premier-plan. Puis, dans la Palette “Échantillons” –> “Ajouter une couleur globale...”. Une petite vignette carrée avec un coin blanc devrait apparaître au bas de la Palette. Cette couleur fera partie de la Palette du Document. Il faut choisir cette “collection” dans le menu idoine, comme d'autres Gris, Couleurs, Dégradés ou encore PANTONE...
Un truc assez déroutant sur Publisher : impossible de coloriser le fond d'un bloc de texte. Il n'y a (ou je n'ai pas trouvé la manip) que la possibilité de coloriser le texte !... Alors que dans la Palette Caractère, on peut en plus définir une couleur d'arrière-plan d'une lettre, d'un mot ou de plusieurs mots, ce qui ne me semble pas être d'un grand intérêt. Mais bon !...
Oui, absolument, comme vous aviez assimilé cette fonction à une véritable “feuille de style”, mais pour les couleurs cette fois. Dans la Palette “Échantillons”, un double clique (ou invoquer le menu contextuel “Modifier le remplissage...”) sur la vignette affiche une roue des couleurs et les autres paramètres éditables. Toutes ces caractéristiques enregistrables dans les feuilles de styles “texte”.
Oui, absolument, comme vous aviez assimilé cette fonction à une véritable “feuille de style”, mais pour les couleurs cette fois. Dans la Palette “Échantillons”, un double clique (ou invoquer le menu contextuel “Modifier le remplissage...”) sur la vignette affiche une roue des couleurs et les autres paramètres éditables. Toutes ces caractéristiques enregistrables dans les feuilles de styles “texte”
En effet, ça marche sans problème, il suffisait de savoir. Merci.
Pour faire simple, on crée sa palette de couleurs globales (dans le menu de la palette de couleurs) qu'on peut utiliser et modifier ensuite.
Bonjour,
Juste pour vous faire part de mon expérience personnelle.
Parce que je n'ai eu ni l'envie ni les moyens de passer à la Creative Cloud, je suis resté à la Creative Suite 6 (CS6) jusqu'à il y a deux ans. J'ai commencé par acheter Affinity Photo et à me contraindre à tenter de ne plus utiliser Photoshop. Ça n'a pas été sans mal, il y a des manques. Par exemple, les objets dynamiques que j'utilisais beaucoup, les outils de déformation et bien d'autres. J'ai eu des problèmes à saisir l'utilisation des canaux dans Affinity Photo pour faire des sélections, souvent, j'ai failli laisser tomber et revenir à Photoshop.
Un peu plus tard, j'ai acheté Affinity Designer. Les manques sont évidents mais il y a aussi dans Designer des petites fonctions intéressantes ou amusantes. J'ai fait un premier boulot en n'utilisant que Designer (et un peu inkscape en complément). Finalement, même si ça n'a pas été simple, j'ai réussi à faire sans Illustrator.
En début d'année, j'ai acheté Publisher. Il m'a fallu apprendre, comprendre et me défaire des années passées sous InDesign mais, finalement, ce logiciel n'est pas mal et il récupère assez bien les travaux réalisés sous InDesign.
Aujourd'hui, je n'utilise plus la suite Adobe mais, pour être honnête, je ne retrouve pas l'intégralité des possibilités offertes par les logiciels de chez Adobe et, pire, je ne trouve pas d'outils dans la suite Affinity qui fassent réellement la différence avec les logiciels de chez Adobe. Cependant, les années 2020 et 2021 ont été dures pour moi question commandes et c'est beaucoup pour l'aspect financier que j'ai décidé de me passer des logiciels Adobe. Je pense encore aujourd'hui que Photoshop, Illustrator ou InDesign restent supérieurs malgré tout.
A la condition d'accepter de changer ses habitudes, d'accepter de faire autrement, de revoir ses attentes, de restreindre la gamme des outils, je pense que l'on peut travailler avec les logiciels Affinity.
Bonjour, sympa et intéressant votre retour d'expérience Bird...
À mon tour de me prêter à l'exercice.
La société Serif sort Affinity Designer en 2014.
En 2015, c'est au tour d'Affinity Photo et 2019 d'Affinity Publisher.
Après la lecture ce matin de la page Wikipedia consacrée, je suis surpris de l'âge de la société : le temps passe vite !...
J'ai commencé à m'intéresser aux deux premiers il y a 5-6 ans.
Ma plus grande difficulté a été la perte des habitudes et la frustration devant une impossibilité technique ou une incompréhension du bouzin. Cela pourrait devenir rageant à devoir remplacer une fonction qui prend quelques secondes pour une tâche particulière imposant une réflexion, une recherche, la lecture d'aide en ligne, l'appel à un collègue (ne jamais oublier la force du collectif), l'utilisation d'un autre logiciel, des essais, des retours en arrière ou encore l'abandon pur et simple de la tâche elle-même alors que l'horloge tourne et que le rendez-vous avec le client est déjà prit !... Mais si vous êtes “bidouilleur”, vous pourrez vous constituer votre propre boîte à outils (basée sur des services web pour la vectorisation par exemple) ou l'ajout de softs gratuits comme InkScape et créer un nouvel environnement de production. Et cette démarche peut être assez fun !... J'ai toujours estimé que ma fonction de graphiste était certes technique, mais aussi assez “artisanale”, avec un certain savoir-faire à acquérir et à bonifier dans le temps...
Étonnant la force des habitudes quand même. Au début, je m'efforçais à retrouver le même environnement, les mêmes fonctions et le même flux de production. Un conseil, pour assurer cette transition, il faut faire preuve de patience et y aller par petits bouts. Et lire la doc (ce que je n'ai pas fait) !... Mais aussi avoir une expérience avec la CC aide aussi énormément : Serif ne pouvait pas non plus rompre drastiquement avec certaines pratiques globalement acquises.
La philosophie de Serif est souvent particulière par rapport à la CC. Là encore, soit on adopte et on s'adapte, soit on rejette !... La gestion des masques de Designer est un bel exemple, mais dès que l'on a intégré le principe, cela ne pose plus de problème. Et peut dans certains cas être plus productif.
Adobe a été fondée en 1982 et a créé le langage de description de page PostScript. Il est clair que cette firme dispose d'une expérience inégalée. Mais c'est peut-être aussi sa faiblesse. Le poids des années, l'exigence de la rétro-compatibilité, la contrainte d'un développement multiplateforme, le statut de leader et la lourdeur d'une multinationale internationale pèsent certainement sur le développement de la société comme de ses produits. Adobe est devenu un mastodonte !...
Les logiciels Serif se lancent rapidement. L'affichage est véloce. Ils sont pleinement compatibles avec les derniers procs ARM d'Apple. Je n'ai pas subi de plantages intempestifs (aucun en fait) sur mon Mac Mini M1. L'installation est rapide et il n'y a pas de fichiers partout dans le système. On peut facilement (comme n'importe quel logiciel sur mac) piloter la suite avec des macros AppleScript ou encore mieux Keyboard Maestro afin de retrouver un semblant d'environnement similaire à la suite d'Adobe, voire aller plus loin et se constituer SON propre environnement de travail, ce qui est toujours très gratifiant. Je viens de poster sur le forum d'Affinity une solution palliant les incohérences de fonctionnement des boutons de validation des boîtes de dialogues dans Publisher (https://www.affinity-forum.fr/showthread.php?tid=6504). Les poids des fichiers Designer sont souvent bien inférieurs à leur équivalent sous Illustrator (vu quelques fois du simple au double !...) et les enregistrements des fichiers sous Designer bien plus rapides (mais cela reste un peu plus subjectif).
J'ai fait des essais de prod avec Publisher. L'ouverture des fichiers .IDML créés sous Indesign est intéressant, mais n'est pas encore parfait, surtout concernant le moteur de césure et justification qui doit être un secret de fabrication (algorithmes) bien spécifique et protégé. Mais stratégiquement, c'est un plus. Je pense que pour tous les utilisateurs d'Indesign, enregistrer aujourd'hui ses productions systématiquement au format .IDML pourrait devenir un bon investissement pour plus tard, autant pour préserver l'intégrité de son travail que pour une portabilité future plus ouverte.
On lit souvent que les logiciels de la CC sont devenus des usines à gaz !... Je dirais plutôt qu'ils sont très riches de fonctions. Serif a encore un peu de travail afin d'offrir l'équivalent ou proposer une alternative viable car rien ne l'empêche aussi à proposer d'autres procédures et aller plus loin. Elle le fait déjà par l'interopérabilité de sa suite : les personas.
Et puis, il y a le prix, et là, y-a pas “photo” !... Serif est bien plus compétitif sur un modèle d'achat de licence (sans abonnement) pour des mises à jour continues assez fréquentes et conséquentes en nouveautés : la société bosse, c'est clair !...
Pour les tâches courantes, la suite de Serif fait l'affaire. Mais dès que l'on a besoin d'un traitement particulier qui sort du train-train, il pourra y avoir un problème.
La motivation a passé à Serif se fera sur son désir à s'affranchir d'Adobe et son (très onéreux) abonnement forcé, mais aussi à vouloir/devoir réduire ainsi ses investissements logiciels et enfin à travailler sur sa propre capacité à assurer la transition. Commencer aussi par des travaux personnels pourrait être une bonne approche, libéré de toutes pressions et contraintes de rentabilité. J'ai pour ma part travaillé entre autres sur des sets d'icônes de mac OS pour me faire la main (https://forum.macbidouille.com/index.php?s=&showtopic=422850&view=findpost&p=4407737).
Attendons maintenant un Affinity Effects, ou encore un Affinity 5D !...
Commentaire superflu retiré.
C'est vrai. La profession a changé, la concurrence s'est multipliée, les prix ont chuté, aussi. Le coût du passage par chez le photograveur n'était pas indolore, le prix du matériel informatique était sans commune mesure avec ce qu'il est aujourd'hui.
Je ne pense cependant pas que l'affaire du coût de la suite logicielle de chez Adobe est à mettre en parallèle avec les coûts que l'on a pu connaître avant que l'on les utilise mais plutôt par rapport avec ce qui existait lorsque l'on pouvait acheter un ou des logiciels de chez Adobe et les faire durer. Le calcul n'est pas en faveur de la Creative Cloud même si, je le concède volontiers, les logiciels ont pu s'améliorer et s'enrichir.
Je viens de télécharger Affinity Designer.
Pour ceux que ça intéresse, il y a une promo à 50%. J'ai sauté sur l'occasion.
A mon grand étonnement, on peut éditer les pdfs, ouvrir des fichiers AI... Dingue non?
Oui, bon plan, assurément !...
non, rien.
(un) retour sur Affinity Designer
Après quelques mois d'utilisation d'AD, j'ai compilé quelques points “sensibles” qui me semblent les plus difficiles à appréhender avec ce logiciel (toute dernière version 1.10.5)… et aussi avoir vos solutions ou éclairages, car je n'ai pas tout vu (et compris) du soft…
Je ne reviens pas sur les qualités réelles de ce soft qui fait très bien le taf, avec élégance (assez souvent), productivité (quelques fois) et praticité. Un vrai challenger contre Adobe Illustrator que j'ai usé depuis les toutes premières versions en parallèle de Cricket Draw et autres Macromedia Freehand.
Voici une liste de points qui m'ont posé problème, soit par la force des habitudes avec Illustrator, soit par ma connaissance insuffisante du bouzin (malgré mes recherches dans l'aide en ligne, sur les forums et tutos YT), soit par absence pure et simple de fonctions.
Nota : comme pour toutes approches face à un nouveau logiciel, jeter un œil dans le panneau des Préférences, voire l'autre œil dans la doc (celle mise en ligne par Serif (https://affinity.help/designer/fr.lproj/index.html) est traduite en français et pas mal du tout) fait gagner beaucoup de temps… en ayant l'impression d'en perdre au début, malheureusement (éternel problème).
SÉLECTION ET RECHERCHE D'OBJETS
On peut rechercher et donc sélectionner des objets selon leur types et cela peut-être très pratique, mais même les objets invisibles sont sélectionnés par cette fonction !… Dans mon cas, j'ai dû COUPER de mon illustration en cours les objets que je ne voulais pas affecter par la future sélection, les COLLER dans un autre document disposant des mêmes caractéristiques (dimensions et qualité afin de préserver les positions), effectuer la sélection sur les seuls calques restants sur mon fichier originel, appliquer l'édition et enfin reCOLLER depuis le presse-papier (et donc à la même position qu'auparavant) pour continuer l'illustration !… Pas glop !…
Une bonne habitude (mais très lourde à mettre en place) serait de nommer chaque objet dans la perspective de pouvoir ultérieurement les éditer avec une meilleure discrimination, surtout si l'on sait déjà que l'on aura des éditions sur de nombreuses itérations (voir exemple ici : https://i.goopics.net/9g26nu.png). On peut parfaitement nommer chaque path. Par contre, il n'y a pas de boîte de dialogue pour sélectionner l'objet ou la suite d'objets tant convoités, il faut auparavant sélectionner une itération de la série et lancer la recherche. Si cela est trop compliqué, il est possible de créer un objet temporaire, de le renommer à l'identique de ceux que vous désirez sélectionner et de lancer la fonction (Menu Sélectionner > Sélectionner identique > Nom). Une fois les modifications apportées à la sélection, on peut supprimer l'objet temporaire. Bidouille, bidouille !…
PALETTE CALQUES
Corollaire au point précédent, l'affichage des objets vectoriels dans cette palette est assez gonflant : à chaque fois que vous éditez un élément, celui-ci est affiché dans la palette, déployant au passage toute la hiérachie y accédant ce qui dans le cas d'une illustration complexe la palette surchargée d'information. Et la sélection d'un autre objet ne referme pas la hiérarchie. Et aucun commande pour la refermer non plus. Et comme AD est basée sur ces calques, on est constamment DANS cette palette, alors que notre attention devrait pointer sur le canvas lui-même !… En fait, on est constamment à refermer des groupes de calques une fois qu'ils ont été édités, sinon, on est perdu !…
NB : il y a une option à décocher dans Préférences > Interface utilisateur > “Défilement auto pour afficher la sélection dans la sous-fenêtre Calques”. Ouf !…
Enfin, cette palette donne beaucoup d'information sur les différents types d'objets de votre illustration en libellant son type : résultat, on a (doit) toujours (avoir) le nez dessus !…
SÉLECTION DE POINTS (NŒUDS)
Si vous avez construit une structure assez importante avec des groupes dans des groupes, etc, et que vous ayez à éditer une sélection de points inclus dans ces multiples groupes (Illustrator parle avec immensément de pertinence et d'efficacité de “Sélection Directe”), c'est impossible !… Avec l'Outil Nœud, vous pourrez juste effectuer par clics successifs une sélection étendue sans pouvoir éditer tous les points mis en avant par l'interface. La seule solution est encore une fois de passer par cette satanée Palette Calques, de déployer TOUTES les hiérarchies des objets convoités, de les pointer UN PAR UN, les points s'afficheront alors par de grosses bulles blanches. Enfin, vous pourrez faire une sélection des points (affichés alors sous forme de carrés bleus) et les éditer en une seule fois. Galère en vue !… Illustrator a encore de beaux jours devant lui.
FORMES VECTORIELLES GÉOMÉTRIQUES
Elles sont pléthoriques et c'est très bien, mais si l'on veut éditer leurs points individuellement, il faut les convertir en courbes, ce que n'impose pas AI. Un truc à avoir en tête.
INTERFACE
AD n'aime pas les ensembles vides !…
Impossible de créer un objet bézier se réduisant à un seul point, ni d'ailleurs un objet texte sans aucun texte. Deux options qui peuvent être pratiques dans certains cas.
L'OUTIL TEXTE
Par défaut dans les Outils (la palette verticale étroite à ne pas confondre avec la Barre d'outils la suite d'icônes horizontale en haut des fenêtres), l'outil texte (un “A”) propose de saisir une et une seule ligne de texte (pour de la titraille ?…) et non pas un bloc de texte. Pour un bloc de texte, il faut ajouter l'outil “Zone de texte” dans les outils ou déployer le sous-menu. Un peu déroutant au début…
AFFICHAGE DANS LE CANVAS
Si j'ai le malheur de scroller sur ma souris tactile Apple tout en ayant appuyé sur la touche Commande, le canvas pivote sur lui-même. Déroutant eu début, mais heureusement il y a une option pour revenir sur un canvas droit (Contrôle, Majuscule, Commande + R).
NB : une autre option à désactiver dans Préférences > Outils > Activer la rotation du canvas commande + molette. Perfect!…
Par contre, si l'on veut faire un zoom (+ ou -) avec les commandes clavier habituels et un simple clic, il faut impérativement que la fenêtre principale soit active, obligeant au préalable à un clic dedans, ce que n'impose pas Illustrator où sa fenêtre principale est toujours active. Ce n'est pas un drame, mais c'est un peu casse-machines !…
LES GUIDES
La création des guides se fait par cliquer-déposer depuis les deux règles, comme partout ailleurs, mais pas d'accès direct à leur valeurs numériques (Illustrator donne logiquement leur valeur dans sa palette Transformation) sans être obligé de passer par le Gestionnaire de guides… On peut alors créer et modifier des guides existants, mais attention si on change une valeur numérique d'un guide, il faut taper sur la touche Entrée pour valider. Si on ferme simplement la boîte de dialogue (bouton Fermer), la nouvelle valeur n'est pas enregistrée et affectée au guide (?).
ÉPAISSEUR DES PATHS
Si vous attribuez de la transparence (aucune couleur) à un tracé ayant une épaisseur, cette information est maintenue dans les attributs de l'objet !… Étrange et déconcertant, mais cette mémorisation pourrait servir dans certaines circonstances pour revenir à un état antérieur, surtout que l'info (épaisseur du trait donc) est enregistrée dans le fichier lui même, donc mémorisée même après fermeture de celui-ci.
NB : concernant l'épaisseur des traits dans la palette éponyme, très malin et efficace sa progression logarithmique…
LES BOÎTES DE DIALOGUE
Très déroutant, les touches Entrée et Retour sont inopérantes pour fermer les boîtes de dialogue. L'utilitaire Keyboard Maestro pourra palier à cela (voir ici : https://www.affinity-forum.fr/showthread.php?tid=6504). C'est un outil incontournable pour mieux gérer son flux de travail comme pour ici avec la possibilité de créer ses propres macros/raccourcis/procédures/enchaînements d'actions et retrouver ses habitudes sous Illustrator. J'en viens même à privilégier KM pour personnaliser mes applications plutôt qu'à personnaliser les raccourcis dans chaque application : après une clean install, l'installation des logiciels et de Keyboard Maestro (avec toutes vos propres macros sauvegardées), ce dernier implémente automatiquement vos raccourcis pour tout les softs. Votre environnement de travail est maintenu.
EFFET D'INTERFACE (DISPARITION EN FADE FUCHSIA !)
Particulièrement gonflant, il y a un effet d'interface d'une (longue) seconde (un fade fuchsia) qui apparaît dans certaines conditions, et plutôt de manière aléatoire pour moi, souvent après une désélection. Je n'ai pas compris l'intérêt. A priori, ce serait lié au Gestionnaire de magnétisme (encore un et celui-là est particulièrement gratiné en nombre de fonctions dans tous les sens). Si l'on désactive tout magnétisme, l'effet disparaît… quelques fois !… Mais cela a peut-être aussi un lien avec les Assistants. Troublant !…
ESPACE DE TRAVAIL
L'application permet d'enregistrer plusieurs espaces de travail et les appeler au besoin. Par contre, AD ne génère pas un fichier de préférence par espace de travail, si simple à gérer comme sous Illustrator (Users > votre-compte > Bib > Pref > Adobe Illustrator > fr_FR > Espaces de travail > …). Si vous voulez sauvegarder TOUS vos espaces de travail, mettez de côté le fichier “com.seriflabs.affinitydesigner.plist” qui se trouve dans Users > votre-compte > Bib > Pref > ….
Si vous voulez sauvegarder UN espace de travail en particulier, et le retrouver sur une installation fraîche d'AD ou une nouvelle installation du système, il faut faire un copier-coller de blocs de code avec un simple éditeur de texte entre une sauvegarde mise de côté du fichier de préférence “com.seriflabs.affinitydesigner.plist” et le même fichier dans votre nouvelle installation ou nouveau système. Ces blocs de textes (suite de caractères sans aucun sens) sont précédés dans le code par le nom que vous avez donné aux espaces de travail.
Je vais essayer d'utiliser au maximum AD, voire me battre encore contre lui et ses défauts de jeunesse, sachant que je ne pourrais plus bien longtemps encore acquérir de bien trop onéreuses licences et me séparer alors d'Adobe, un jour ou l'autre…
Pour finir, j'ai le sentiment que les bidouilles, manips et autres “savoir-faire” que l'on aura pu développer avec l'expérience acquise sous Adobe Illustrator pourront aider à mieux et plus rapidement s'en tirer sous Affinity Designer.
Quelques liens, pour les plus nostalgiques d'entre nous…
http://www.grenier-du-mac.net/fiches/applications/cricketdraw.htm
https://guidebookgallery.org/splashes/illustrator
https://www.youtube.com/watch?v=xv3xl2B6yUs
https://www.youtube.com/watch?v=1gaCKT_Ncdk
Et un article très bien foutu :
https://www.la-wab.fr/blog/2021/10/15/pourquoi-choisir-affinity-plutot-que-adobe-22-fonctionnalites-et-astuces-affinity-a-decouvrir
Je ne vais pas répondre à tous les points en détail mais en cochant les deux cases dans la barre d'outils contextuelles du haut, tu peux tracer plusieurs courbes en restant sur un seul calque. Voir la copie d'écran.
Pour la sélection des points ou nœuds, lorsque tu es avec l'outil plume, tu peux les sélectionner un par un ou plusieurs en appuyant sur la touche command (et maj si tu veux plusieurs points). Copie d'écran pour montrer.
Merci Bird pour ta première réponse.
Pour le second point, je joins une copie d'écran ci-dessous qui illustrera mieux mon précédent propos :
si a posteriori je devais sélectionner tous les points antérieurs des deux bras et du bas du buste de la ligne du bas des personnages, je dois d'abord ouvrir toutes les hiérarchies la concernant, sélectionner TOUS les paths dans la palette Calques et faire une sélection des points dans le canvas... Pas glop !...
Bonjour,
Je viens de faire un test. J'ai conscience que ça ne correspond pas tout à fait à ce que tu cherches à faire mais ça peut être utile malgré tout.
Si tu nommes un calque que tu dupliques, tu peux aisément le sélectionner avec l'outil déplacer (flèche noire). Une fois la sélection effectuée, tu vas dans "Sélectionner identique" puis "nom" et toutes les occurrences sont sélectionnées.
Oui, c'est bien une des conclusions à laquelle j'arrivais plus haut : dans le cas d'une illustration complexe, il faut envisager toutes les possibilités d'édition future, préparer au maximum ses éléments de base (en les nommant comme je l'indiquais)... mais tout ceci n'est pas très Feng Shui et présage de possibles pièges, avec perte de temps à la clef. Sauf erreur de ma part, si l'on doit éditer des paths contenus dans plusieurs groupes imbriqués, il faut d'abord déployer toutes les hiérarchies dans la palette Calques et sélectionner un à un tous les calques sur lesquels on envisage d'éditer les points (nœuds). Illustrator est plus souple.
Sinon, très sympa cette pochette d'œufs shootés aux amphéts : le prochain album de Jean-Michel Jarre peut-être ?...
Je ne pense pas qu'il soit nécessaire de déployer tous les groupes. Je vérifierai.
Juste un commentaire concernant les Modes de Fusion de calque, menu se trouvant dans la palette du même nom et implémenté dans les trois logiciels de la suite, Photo, Designer et Publisher.
La dernière option du menu se nomme Effacer et me semble être vraiment très puissante, avec une mise en œuvre efficace, pratique et permettant une édition simple, facile et interactive (live). Un moyen très productif pour générer un “trou” dans un groupe de calques (cette option “perce tout” jusqu'à la base de votre composition, quel que soit le logiciel de la suite). D'autant que le calque ainsi qualifié peut aussi recevoir des effets, comme par exemple un flou gaussien...
Avec un peu plus de recul maintenant, je commence à croire (et apprécier) que l'ergonomie mise en place par Serif pour sa gestion unifiée des calques et leurs fonctions innovantes est bien plus “maline” que celle soutenue et inchangée depuis des lustres chez Adobe...
Sinon, l'unicité des interfaces de la trilogie est un vrai plus en termes de productivité : c'est certainement aussi pourquoi les trois logiciels sont mis à jour en même temps avec les mêmes numéros de version.
Kool !...
Bonjour,
L'ergonomie de chez Adobe reste inégalable pour celles et ceux qui ont fait leurs premiers pas avec leurs logiciels. C'est mon cas pour Photoshop, Illustrator et InDesign. Les autres, je ne les connais que très peu. Du coup, certains modes opératoires que l'on doit réapprendre en arrivant chez Serif déroutent et, parfois, peuvent agacer.
Récemment, j'ai été confronté à un souci que je ne suis pas parvenu à résoudre. J'ai détouré un objet sous Affinity Photo, j'ai récupéré l'ombre de cet objet (photographié sur fond blanc en studio) sur un autre calque que j'ai mis en mode produit. Du coup, si je place un autre calque sous ces deux premiers et que je lui donne une couleur, l'ombre est présente. Pas de problème.
J'enregistre l'image au format afphoto et me rends sous Affinity Publisher avec l'idée de placer cette image et ses calques sur un fond. Le calque en mode produit n'est pas pris en compte. C'est une chose que l'on fait aisément avec Photoshop et InDesign.
Je n'ai pas réussi à reproduire ce problème. Reste la solution peu orthodoxe de copier-coller l'ombre de A-Photo dans le fichier A-Publisher pour la gérer individuellement !... Sinon, penser à passer par le panneau “Gestionnaire de resources” pour mettre à jour l'import qui doit être “lié” : Publisher ne “semble” pas faire la mise à jour automatiquement (à moins qu'il n'y ait quelque part un paramétrage ou un Assistant). Pratique, le double-clique sur l'image importée (liée) dans Publisher qui ouvre son propre éditeur.
Voilà quelques images pour expliquer le problème rencontré.
Sur la première, on voit le Polaroïd détouré sans ombre sur un fond.
sur cette seconde, on voit que j'ai créé un calque placé en mode produit qui me permet de récupérer l'ombre masquée précédemment.
J'enregistre au format afphoto et je l'intègre dans un document Affinity publisher avec ses calques et masques.
Le calque mis en mode produit s'affiche comme s'il était en mode normal. Les masques fonctionnent cependant.
Hello, je ne suis pas sûr d'avoir compris le problème. Donc, voici une compo avec des éléments similaires et une archive à télécharger contenant les fichiers source A-Photo et A-Publisher : https://www.transfernow.net/dl/20220618s7p3xdMc
En espérant que cela t'aidera...
Oui mais ce n'est pas tout à fait ce que je veux dire.
J'ai fait une vidéo explicative. Je n'ai pas trop l'habitude de cela, il faudra excuser le manque de préparation et les approximations. A un moment, j'appelle masque le calque. On dira que c'est dû à la canicule, hein.
https://youtu.be/vgEQ0B5-FW4
Une solution (à confronter aux exigences de qualité pour l'impression) en définissant les Plages de fusion, option à appliquer sur le calque “Ombre” se trouvant dans la palette du même nom, sous la petite roue crantée dans la section de gauche “Sources”.
J'imagine que tu composes ton document A-Publisher pour de l'impression, en CMYK : à voir si la qualité de l'import (image en RVB ou en CMYK) n'a pas une incidence sur le résultat final.
Sinon, il y aura peut-être des zones “blanchasses” sur la périphérie de cette ombre : je crois me souvenir d'un tuto concernant ce problème sur la chaîne YouTube d'Olivio Sarikas.
L'autre solution serait de transformer sous A-Photo le calque contenant l'ombre en Niveau de gris. Que ce calque soit en mode de fusion Normal, mais surtout que cette ombre soit constituée de pixel avec leur propre niveau de transparence (Alpha). L'import de ce fichier dans A-Publisher suffirait d'être sur un calque en Mode de fusion “Normal”, la transparence de l'ombre se “jouant” automatiquement pour un résultat impeccable !... (ci-joint une archive à télécharger avec les sources : https://www.transfernow.net/dl/202206192mQmvxFa)...
Pas si mal, la petite vidéo YouTube d'explication : exercice toujours difficile !... Pas sûr que je m'y prête un jour !...
Bonjour,
J'ai essayé avec l'image en rvb ou en cmjn avec les deux logiciels réglés sur les mêmes profils.
Il y a une chose que je n'ai pas tentée c'est d'ajouter une étape avec le passage par Designer. Je vais voir ça tout à l'heure.
J'ai essayé hier d'utiliser la plage de fusion et ça fonctionne même si, dans mon cas, il est nécessaire de beaucoup trop jouer sur les niveaux (ou sur les courbes) pour beaucoup contraster l'ombre.
Ceci dit, tout cela est surtout pour mettre en évidence un fonctionnement moins simple qu'avec le couple Photoshop/InDesign.
J'imagine que Publisher va évoluer.
J'ai eu, il y a très longtemps, à gérer la fabrication de nombreux catalogues produits contenant des centaines de visuels, détourés avec une ombre portée au sol et j'ai toujours essayé de réduire au maximum les opérations. Ajouter A-Designer au flux de production ne me semble pas, au premier abord, utile, mais bon...
Une autre solution serait de créer l'ombre dans A-Publisher (voir visuel ci-dessous). On réduit alors le process avec UN détourage de l'objet dans A-Photo + UN objet vectoriel simple pour l'ombre doté d'un contour progressif dans A-Publisher.
Je suis en train de monter un livre d'environ 200 pages pour quelques 200.000 signes. Rien de bien extraordinaire.
J'utilise A-Publisher dans sa toute dernière version (1.10.5) sur mon mac de signature.
Ayant l'habitude de bosser sur Indesign (depuis sa toute première version), j'ai pris le temps de me former au soft de Serif depuis plus d'un an (merci YT) et j'arrive maintenant à “comprendre” la logique particulière du logiciel... et à être relativement productif. J'ai bien dis “relativement” !...
J'aimerai quand même partager un sentiment général : A-Publisher fonctionne pas trop mal, mais il y a quand même moins de stabilité qu'avec Indesign et quelques bugs plutôt gênants qui ne sont pas trop rassurants pour le coup.
Exemple 1 - Attribution d'une maquette sur une page précise du chemin de fer. Suivant la méthode appliquée, par cliquer-glisser ou par le menu contextuel, la page envisagée ne change pas, voire, c'est la page suivante qui est affectée !... Heureusement, le Commande+Z fonctionne ici.
Exemple 2 - A-Publisher propose un Gestionnaire de polices, mais dans cette fenêtre, il manque un bouton pour “Lancer” la substitution !... Dépité, on doit alors taper sur le bouton “Localiser” pour afficher l'endroit où la typo fait défaut et éventuellement taper sur le bon style dans la palette du même nom... avec des fois pour conséquence que toutes les typos de la page courante se voient attribuer arbitrairement le même style, alors que différents styles étaient déjà attribués !...
Exemple 3 - CÉRISE SUR LE GÂTEAU !... Je viens de me battre avec le générateur automatique de Table des Matières. Cette table étant toujours positionnée après le texte (à l'encontre d'un Sommaire placé lui au début du texte), je me rends À LA FIN de celui-ci dans ma maquette. J'applique la procédure (très intuitive) et rien ne vient remplir le champ de texte comme prévu, avec cet unique message “Aucune entrée de TDM trouvée”. En fait, il faut se positionner AU DÉBUT de la maquette, lancer la procédure, et là, les différents styles appliqués aux titrailles dans le texte sont reconnus et viennent construire automatiquement la table !...
Si vous déplacez ce bloc Table des Matières À LA FIN de votre compo, la TDM ne bougera pas dans son contenu... SAUF, jusqu'à ce que vous fassiez des modifications dans la structure même de votre texte avec des changements d'entrées de chapitres ou de sections et que vous cliquiez sur le bouton “Mettre à jour” et lire à nouveau le message “Aucune entrée de TDM trouvée”!... Obligation alors de bidouiller avec un copier-coller et réattribution de styles pour enfin avoir un bloc de texte TDM mise à jour placé À LA FIN du livre. Galère !... On a à faire ici à un automatisme : prudence quant à la qualité du futur fichier PDF généré : sera-t-il bien construit ?...
L'éditeur Serif a encore un peu de travail sur cette très bonne suite logicielle (je n'utilise plus la suite Adobe). Mais, pour ce qui est de ma production, je prends toutes les précautions en faisant des enregistrements fréquents de mon travail en incrémentant mes fichiers afin de pouvoir revenir en arrière si problème logiciel. Et au moment de la génération du fichier PDF pour l'impression, je vérifie TOUTES LES PAGES avant envoi à la fabrication, chose que je ne faisais plus depuis longtemps avec Indesign.
Pas totalement confiance dans ce logiciel, donc prudence, mais A-Publisher est très agréable à utiliser quand même !... En attendant les prochaines mises à jour.
NB : à l'instant, je repense à mon appréciation de l'époque d'Indesign par rapport à QuarkXpress où j'estimais que ce dernier “posait” des pièges !... A-Publisher peut lui aussi être très piégeux !... Mais ce n'est que mon appréciation.
NB2 : solution trouvée pour cette histoire de TDM, copier de l'intégralité du texte de la table générée automatiquement avec les numéros de pages, coller ce texte dans un nouveau document A-Publisher, suppression de l'attribution du style originel, copier ce texte sans style dans la première maquette dans un nouveau bloc, enrichissement typo de cette base de TDM. Pas glop !...
Bonjours à tous,
J’aimerais passer à la suite Affinity et laisser tomber l’abonnement Adobe, (n’en ayant plus l’utilité professionnelle), mais je me pose une question.
Pourriez vous me dire s’il existe une fonction de vectorisation automatique d’images, ou de photos.
Je me suis habitué à celle d’illustrator mais je n’ai pas encore trouvé de réponse à ce sujet ?
Non, pas de vectorisation. C'est un manque qui ne s'explique pas trop. Pour ma part, j'utilise avec bonheur inkscape pour réaliser les quelques travaux nécessitant une vectorisation.
Zut ! je m’en doutais un peu.
Je recherche un résultat de vectorisation qui réduirait à volonté le nombre de couleurs d’une photo, en se rapprochant le plus intelligemment de l’original, tout en restant le plus raisonnable sur le quantité de tracés obtenus.
Une sorte de compromis malin entre fidélité et complexité.
J’avais réussi (en tâtonnant longuement) à trouver cet équilibre avec Illustrator.
Merci bird, je vais tester Inkscape.
quelqu'un a testé la V2 des différents logiciels ? sinon l'idée de la licence universelle est pertinente. surtout à ce prix encore pour quelques jours.
J'ai commencé à utiliser un peu les logiciels V2. Je n'ai pas eu le temps et l'occasion de m'y coller vraiment mais ce que j'ai vu va plutôt dans le bon sens sur certains points. Et puis, bon, pour le prix, hein…
Comme l'écrit Bird, très bonne sensation avec cette release et ce pour les trois logiciels de la suite sous macOS (Monterey). Je n'ai pas testé la suite sur mon iPad et n'ai pas de PC.
Cela fait maintenant un mois qu'elle est sortie et aucune update en vue pour cette version 2 : bon présage.
Encore une fois, sensation de bosser avec un éditeur et des softs... sérieux et fiables.
Les ajustements dans l'interface et quelques fonctions supplémentaires sont les bienvenus. J'ai abandonné la suite Adobe il y a maintenant deux ans et j'arrive très bien à m'en sortie avec Affinity (édition, illustration, retouche photo, montage...). Changer d'éditeur n'a pas été facile facile, mais avec le temps, l'aide en ligne (en français, riche et très bien faite) et quelques tutos (anglais) sur YT, avec un background Adobe, on s'en sort très bien.
Reste quelques “trucs” qui manquent encore. J'en prends deux vite fait : pas d'outil de vectorisation (que l'on utilise que très rarement, je pense) avec comme alternative des services web ou achat d'une app dédiée (environ 40 €) ou encore dans le Finder la taille des fenêtres Quicklook bien trop petites... Pas un drame !...
oui pour le prix c'est une blague surtout en ce moment avec la licence universelle à -40%.(et même au prix fort)
les achats in app il y en a quelques uns mais ce sont des pinceaux etc, et au moins ils évitent l'écueil des packs comme chez d'autres éditeurs . je vais essayer de trouver des tests comparatifs.
Ah ! Aujourd'hui, je viens d'être confronté à un bug étonnant (et bien agaçant).
J'ai commencé une mise en page sous Affinity Publisher v1. Je la reprends sous Publisher v2. Le document s'ouvre bien mais il y a un petit élément fait avec Affinity Designer v1, un bloc rectangle à bords arrondis à fond blanc avec un bloc texte par dessus.
Eh bien ces éléments s'affichent mal, tronqués. Je me dis que c'est peut-être parce qu'ils ont été faits avec une version précédente de Designer. Je les ouvre dans la v2 et réenregistre les éléments. Je les importe de nouveau dans Publisher. Même résultat.
Toutefois, en changeant la taille d'affichage, par moments ça s'affiche convenablement. Ah ! Bon. Je tente un export de la page en pdf pour voir. Le bug est visible sur le pdf. Diable !
De guerre lasse, je me résous à refaire le bloc rectangle directement dans Publisher. Et là, bon, ça marche bien. J'exporte la page en pdf, aucun souci.
Étonnant, non ?
tu devrais en faire part à serif, ça peut être utile à d'autres personnes. je pense que beaucoup ne vont pas forcément acheter toute la nouvelle suite mais seulement 1 logiciel ou 2 possédant déjà la v1 et ce genre de 'conflit' va se multiplier.
Un petit up pour signaler que jusqu'au 25 janvier, Serif offre une remise de 40 % sur ses logiciels.
(Il y a toujours la possibilité de les essayer gratuitement auparavant.)
https://affinity.serif.com/fr/affinity-pricing/
https://prodesigntools.com/adobe-creative-cloud-express.html est gratuit pour les associations et les organismes de charité : https://blog.adobe.com/en/publish/2022/10/17/bringing-power-of-creative-storytelling-global-nonprofits-with-adobe-express
La version premium de Creative Cloud Express comprend toutes les fonctionnalités de la version gratuite, plus : l'accès à plus de 175 millions de photos Adobe Stock libres de droits, plus de 22 000 polices Adobe, des modèles et des ressources de conception premium, davantage de fonctions d'édition, l'intégration avec les bibliothèques Creative Cloud, Adobe Portfolio, 100 Go de stockage en ligne et des applications supplémentaires comme Photoshop Express et Premiere Rush (les versions complètes).
sinon c'est 100 euros/an pour les autres
soit le prix de la suite affinity V2 à vie.
sinon j'ai vu passer que capture one allait changer ses tarifs au mois de février : ceux qui auront acheté la version actuelle pourront acheter la future version avec 40% de réduc, les détenteurs des anciennes versions se sera 20% soit moins que la remise pour le BFriday
Propulsé par Invision Power Board (http://www.invisionboard.com)
© Invision Power Services (http://www.invisionpower.com)