Apple débauche une autre pointure chez Amazon, Réactions à la publication du 07/04/2018

[Lionel]

Bloomberg a eu la confirmation par Apple qu'elle engagé Jon McCormack au poste de vice-président chargé de la division logicielle.

Il a été débauché de chez Amazon, qui l'avait débauché de chez Google, qui l'avait récupéré de chez HP.
McCormack est donc un spécialiste des logiciels et il sera certainement très utile à Apple pour reprendre le contrôle des équipes et éviter les déboires que la société a récemment connus.


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[Rorqual]

Il a été débauché de chez Amazon qui l'avait débauché de chez Google qui l'avait récupéré de chez HP.
McCormack est donc un spécialiste des logiciels et des démissions

J'ai complété la phrase.

[Lionel]

Il a été débauché de chez Amazon qui l'avait débauché de chez Google qui l'avait récupéré de chez HP.
McCormack est donc un spécialiste des logiciels et des démissions

J'ai complété la phrase.

Non, c'est seulement un gars qui va au plus offrant, un mercenaire.

[M_Marc]

J imagine que ces changements sont:
1 normaux
2 l article ne dit pas combien de temps il a été employé par chaque sociétés
3 le changement permet de faire progresser la connaissance globale en diseminant les bonnes (parfois mauvaises) pratiques d une société vers une autre.

Ceci n étant que mon opinion.

Ce message a été modifié par M_Marc - 7 Apr 2018, 08:27.

[Fafnir]

Les chaises musicale comme dans la Grande vadrouille.

Ce message a été modifié par Fafnir - 7 Apr 2018, 09:05.

[VSD]

Instabilité du personnage ?
Ne trouve pas ses marques, ses repères, au sein de l'entreprise, qu'il en change si souvent ?
Parfois cela n'augure rien de bon !!!
Se méfier de ceux et celles qui veulent mettre les pieds dans le plat en disant moi je sais !!!
Qu'a t-il apporté aux autres entreprises pour qu'il les quites si précipitament ?
Enfin, Apple fait ce qu'elle veut, je m'en contre fou de toute façon !

[Hebus]

Une fois qu’il a mis en oeuvre sa méthode... fait ses preuves, mis les process en place, formé les gens ... Il s’ennuie, et donc envisage avec intérêt la nouvelle proposition...

Faut il être fidèle à son patron ? Son entreprise ? On vend sa force de travail, c’est tout... au plus offrant ou lorsque l’on s’emmerde trop pour rester.

J’ai mis un certain temps à savoir défendre cette attitude lors d’un entretien d’embauche et autant dans les années 90 c’était mal vu, autant à partir des années 2000 les réactions ont changé, et cela est plus apprécié comme une capacité à s’adapter, se remettre en cause, ne pas s’enfermer dans sa zone de confort.

C’est une grosse erreur que de produire de l’affect pour une entreprise.

Un pote sous lequel j’ai démissionné 3 fois, m’a dit que pour que je ne démissionne pas il ne fallait pas m’embaucher...

En fin de carrière par contre, c’est une autre histoire pour changer

Ce message a été modifié par Hebus - 7 Apr 2018, 10:12.

[elbacho]

Bloomberg a eu la confirmation par Apple qu'elle engagé Jon McCormack au poste de vice président chargé de la division logicielle.

Il a été débauché de chez Amazon qui l'avait débauché de chez Google qui l'avait récupéré de chez HP.
McCormack est donc un spécialiste des logiciels et il sera certainement très utile à Apple pour reprendre le contrôle des équipes et éviter les déboires que la société a récemment connu.


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A moins que ce soit le contraire ...

Il semble avoir travaillé d'abord chez Amazon, puis chez Google, puis chez HP ...

Profil linkedin
https://www.linkedin.com/in/jonmccormack/

[djdoxy]

Quiconque a déjà tenté de télécharger un logiciel HP (un driver par exemple) depuis leur site, sait qu'ils sont très mauvais dans ce domaine.

HP sait très bien faire du hardware, mais coté logiciels ils sont à la ramasse.

[VSD]

Peut être qu'Apple n'avait pas d'autre choix !
Qui nous dit réellement qu'il a démissionné de chez Amazone ou qu'il a été débauché par Apple ?
Peut être aussi qu'il a "gentillement" été remercié pour ses services rendus et hop dehors !
Il n'y a que Jon McCormack lui même qui c'est ce qu'il vaut e les bienfaits qu'il peut faire chez Apple !
Mais qu'en est-il des employés (es) qui seront sous ses ordres ? Perso, là ou je travaillais, s'il y avait
(3 !) un changement de "patron" nous nous le ressentions en bien ou en mal ... et notre travail s'en ressentait !
D'en avoir rien à faire...de ce qu'il dira ou voudra que les choses changes... Aucun ne m'a fait changer ma façon de faire !
Pas même les sois disant "audit" qui viennent nous prendre en charge, pour "nous amméliorer" dans notre travail !!!
Perso, j'en avais rien à faire... Certes un vieux con, mais voilà je suis ainsi !

[Ze Clubbeur]

Une fois qu’il a mis en oeuvre sa méthode... fait ses preuves, mis les process en place, formé les gens ... Il s’ennuie, et donc envisage avec intérêt la nouvelle proposition...

Je suis d'accord avec toi.
Il y a des personnes qui s'ennuient rapidement quand elles ne sont plus stimulées dans leur travail. Et dans ces cas là, autant aller voir ailleurs si on ne peut pas apporter ses connaissances / compétences plutôt que d'encroûter dans un poste où au final, on va perdre en compétences et en motivation.

[amike]

Une fois qu’il a mis en oeuvre sa méthode... fait ses preuves, mis les process en place, formé les gens ... Il s’ennuie, et donc envisage avec intérêt la nouvelle proposition...

Je suis d'accord avec toi.
Il y a des personnes qui s'ennuient rapidement quand elles ne sont plus stimulées dans leur travail. Et dans ces cas là, autant aller voir ailleurs si on ne peut pas apporter ses connaissances / compétences plutôt que d'encroûter dans un poste où au final, on va perdre en compétences et en motivation.

Il y a même encore plus simple : Pour une compétence particulière et très prisée, soit la personne crée sa propre entreprise, soit elle utilise la solution du contrat de travail à durée déterminée.
Franchement, il est plus simple de laisser les charges d'administration à une grosse boite plutôt que de le faire soi même.

En tout cas, la qualification de "mercenaire" est totalement exagérée. Et en France, par exemple, la législation du travail impose que l'auto entrepreneur soit en réalité considéré comme salarié par son principal client s'il l'emploie à une certaine proportion de son activité.

Donc, autant passer par le contrat de travail et l'embauche, même si votre activité tient plus du service.

[X_Gebo]

C’est une grosse erreur que de produire de l’affect pour une entreprise.

Que vaudrait une Vie sans affects ? Ne peut-on pas démissionner en gardant de l'affect pour l'entreprise, son poste, ses collègues ?
Pour ma part je mets de l'affect dans ce que fais, dans mon travail et en dehors - et je ne me vois pas agir autrement : besoin de m'amuser, de prendre du plaisir... et d'en donner.

Ce message a été modifié par X_Gebo - 7 Apr 2018, 14:37.

[SartMatt]

Petite erreur dans la chronologie, HP c'était son dernier poste, Google avant et Amazon encore avant (et si on remonte, Yahoo, et de nouveau Amazon).

Ne trouve pas ses marques, ses repères, au sein de l'entreprise, qu'il en change si souvent ?

Ou alors est embauché pour un objectif précis et part quand il l'a réalisé... Et si les changements fréquents d'entreprise sont un mauvais signe, alors tu peux mettre à la benne les 3/4 des gens qui bossent dans l'informatique, dont à peu près 100% de ceux qui bossent en société de service...

Au total, il a fait 11 boîtes en 26 ans de carrière, ça n'a vraiment rien d'exceptionnel.

Qu'a t-il apporté aux autres entreprises pour qu'il les quites si précipitament ?

Pourquoi précipitamment ? Ce n'est pas parce qu'on reste peu de temps sur un poste qu'on le quitte précipitamment... Tu peux très bien quitter précipitamment un poste que tu as occupé pendant dix ans et quitter non précipitamment un poste que tu as occupé deux semaines...

Il n'y a que Jon McCormack lui même qui c'est ce qu'il vaut e les bienfaits qu'il peut faire chez Apple !

Parce que tu crois vraiment qu'Apple embauche à de tels postes sans faire de prise de référence chez les précédents employeurs ?

Chez Amazon il a notamment été vice précident en charge de la partie logicielle des Kindle (de 2009 à 2014) pour responsable technique des appareils Amazon (en 2015). Donc en charge de produits qui ont marché... On peut aussi remarquer que après avoir quitté Amazon une première fois, il y est retourné deux mois plus tard, à un poste à priori supérieur. C'est un signe qu'il faisait du bon boulot chez Amazon et qu'il n'avait pas été "remercié" la première fois qu'il en est parti, sinon il n'aurait pas été réembauché à un poste supérieur deux mois plus tard...

Ce message a été modifié par SartMatt - 7 Apr 2018, 15:45.

[iAPX]

...

Ne trouve pas ses marques, ses repères, au sein de l'entreprise, qu'il en change si souvent ?

Ou alors est embauché pour un objectif précis et part quand il l'a réalisé... Et si les changements fréquents d'entreprise sont un mauvais signe, alors tu peux mettre à la benne les 3/4 des gens qui bossent dans l'informatique, dont à peu près 100% de ceux qui bossent en société de service...

Au total, il a fait 11 boîtes en 26 ans de carrière, ça n'a vraiment rien d'exceptionnel.
...

Je suis pas mal dans ce cas.

Des fois tu amènes un truc et ça tombe après dans la routine, d'autres fois (plus généralement) le milieu est toxique et tu te casses à la première occasion.
Dans une entrevue d'embauche, les entreprises mentent, travestissent la réalité, il n'y a aucune limite!
(et les gens des RH sont les premiers à mentir, ceux sur lesquels il ne faut JAMAIS compter, car ils essaient de paraître humain mais leur intérêt c'est la société, ce sont donc mes amis "Que Dieu me préserve de mes ennemis, mes amis, je m'en charge" ou l'inverse )

Ce message a été modifié par iAPX - 7 Apr 2018, 20:20.

[malhomme]

Que vaudrait une Vie sans affects ? Ne peut-on pas démissionner en gardant de l'affect pour l'entreprise, son poste, ses collègues ?
Pour ma part je mets de l'affect dans ce que fais, dans mon travail et en dehors - et je ne me vois pas agir autrement : besoin de m'amuser, de prendre du plaisir... et d'en donner.

J'ai bien peur d'être dans ce cas. Je trouve le coût humain (en tout cas personnel) à faire sans affect (en admettant même que ce soit possible) tellement prohibitif, que je n'ai pas le moyen de me le payer.