AMD dévoile ses processeurs Threadripper 2 ayant jusqu'à 32 coeurs, Réactions à la publication du 06/06/2018

[Hebus]

GCD est un support bas niveau pour gérer la programmation concurrente ...

Grand Central Dispatch (GCD) is a technology developed by Apple Inc. to optimize application support for systems with multi-core processors and other symmetric multiprocessing systems.[2] It is an implementation of task parallelism based on the thread pool pattern. The fundamental idea is to move the management of the thread pool out of the hands of the developer, and closer to the operating system. The developer injects "work packages" into the pool oblivious of the pool's architecture. This model improves simplicity, portability and performance.

Bien... Couplé au support dans Cocoa avec Operation, OperationQueue et BlockOperation, cela offre suffisamment de confort d'utilisation qu'un tas de dev s'en sont servi intensivement pour accomplir des taches en //

Par exemple une grille d'image à charger sur disque... operation facile à accomplir lorsque tu as ces objets à disposition avec les closures, sans t'occuper d'une quelconque API de threading... sinon c'est un peu plus tricky... Et beaucoup laissaient tomber avant cela.

Gros avantages de GCD, je le repete, c'est qu'il arbitre lui meme en fonction des coeurs disponibles... et cela au niveau du kernel, donc aussi en fonction des requêtes des autres process en cours... ça je ne sais pas faire au niveau espace user applicatif

ça n'est pas un remplacement de truc comme OpenMP, je dirais que GCD est plus orienté applications interactives, donc du code de traitement quelconque exécuté en //, ce n'est pas une toolkit pour faire du calcul scientifique en //

Ce message a été modifié par Hebus - 8 Jun 2018, 10:00.

[marc_os]

Prends ça comme une attaque perso, si ça t'arrange vu que c'est une critique perso, mais ce n'est pas un attaque ad hominem. Tu dois connaitre la différence vu que je te l'ai déjà rappelée. A moins que...

En même temps, j'ai pas dit que c'est une attaque ad hominem. J'ai dit que c'est une attaque personnelle. Alors pourquoi parler d'attaque ad hominem ? Nième tentative de noyer le poisson ?

Donc je te retourne la remarque au sujet de ton insistance sur cette "attaque" supposée de ma part : Nième tentative de noyer le poisson ?

Au fait, si c'était une « Nième tentative de noyer le poisson », il s'agirait d'une attaque ad hominem.
Hors tu reconnais que ça n'en est pas. Faudrait savoir alors. Finalement tu comprends le concept, ou pas ?
Again donc, en vérité il me semble qu'il s'agit bien de ta part d'une une Nième tentative de noyer le poisson !

[SartMatt]

Donc je te retourne la remarque au sujet de ton insistance sur cette "attaque" supposée de ma part : Nième tentative de noyer le poisson ?

Je ne faisait que m'interroger sur la raison de l'attaque. N'inverse pas les rôles hein... Celui qui dans cette discussion a posé une bouse sans le moindre autre argument que le dénigrement de son contradicteur, c'est toi. Pas moi. Les seuls messages où je n'ai pas apporté d'argument sur le fond, ce sont ceux où je répondais à tes messages dénués de fond.

Au fait, si c'était une « Nième tentative de noyer le poisson », il s'agirait d'une attaque ad hominem.

Parce qu'une attaque personnelle, ce n'est pas pour noyer le poisson peut-être ? Ça l'est en fait encore plus qu'une attaque ad hominem... Une attaque ad hominem garde un léger rapport avec le fond. Une attaque personnelle vise seulement à dénigrer la personne avec qui on n'est pas d'accord, sans aucun rapport avec le fond. Le plus souvent parce qu'on n'a rien de plus intelligent à dire... C'est donc l'essence même du noyage de poisson : essayer de détourner le sujet vers autre chose que le fond initial, en salissant au passage son contradicteur.

"Si l’on s’aperçoit que l’adversaire est supérieur et que l’on ne va pas gagner, il faut tenir des propos désobligeants, blessants et grossiers. Être désobligeant, cela consiste à quitter l’objet de la querelle (puisqu’on a perdu la partie) pour passer à l’adversaire, et à l’attaquer d’une manière ou d’une autre dans ce qu’il est : on pourrait appeler cela argumentum ad personam pour faire la différence avec l’argumentum ad hominem. Ce dernier s’écarte de l’objet purement objectif pour s’attacher à ce que l’adversaire en a dit ou concédé. Mais quand on passe aux attaques personnelles, on délaisse complètement l’objet et on dirige ses attaques sur la personne de l’adversaire." (Schopenhauer)

Tu pourras toujours dire que comme tu m'attaques sur mon expérience de la programmation parallèle, c'est encore un peu en lien avec le sujet. Mais du coup, c'est de l'ad hominem. Ce que tu niais un peu plus haut...

Ce message a été modifié par SartMatt - 7 Jun 2018, 19:11.