Anandtech teste le processeur A12 qui est une avancée majeure dans le monde des processeurs mobiles, Réactions à la publication du 06/10/2018

[malhomme]

...
Ce qui ne retire rien au couple iPad / iPhone que j'utilise aussi sur scène avec plaisir (même si le tout a pris cher depuis IOS 10).

C'est à dire ?

Alors concrètement, et que l'on m'excuse du hors sujet : perte de performance sur des configurations Audiobus chargées (qui ne fonctionnent plus).
Du quasi temps réel qui peut vite mettre l'iPad pro à genoux (256 frames c'est déjà beaucoup trop).
Énormément de problème d'interface audio ou midi (ou les deux) ou de périphériques qui ne sont plus reconnus ou reconnus au mieux aléatoirement (mais il est difficile de savoir qui est le plus coupable entre Apple et le fabricant).
En tout état de cause : devenu impraticable sur scène en dehors d'une zone qui s'est considérablement restreinte (et donc du fric dépensé devenu inexploitable en logiciels).

Et puis petit détail mignon : la perte des appli 32 bits m'a fait perdre une appli qui m'avait un peu couté de sous en achat inApp, dont l'éditeur est... Apple (Alchemy).

[Ambroise]

Dubitatif, je suis... On se demande pourquoi les constructeurs se décarcassent a mettre des i5 - i7 - i9 ou leurs pendant AMD voire du Xeon dans des ordis alors qu'une cacahuète de téléphone portable suffirait à faire le même boulot.

Anandtech apporte une forme de réponse à cette interrogation. Ils indiquent qu'ils n'ont pas pu compiler l'ensemble des tests. Et qu'ils ont même du modifier du code source pour pouvoir les faire tourner.
Ces processeurs de téléphone sont extrêmement puissants mais ils sont dans un environnement qui ne permet toujours pas de compiler complètement une suite de tests écrits il y a 12 ans. Visiblement on reste dans des besoins et des environnements qui ont encore du mal à être comparables même avec 12 ans de progrès.

[marc_os]

Et le modèle de dictature sur lequel est basé Apple est très efficace... sauf en QA

Ah Apple, ce grand méchant loup !
Sauf que la dictature, c'est LE modèle de quasiment toutes les entreprises, spécialement des SA et des SARL.
Sauf dans les entreprises autogérées, c'est « chef, oui chef » qui est de mise.
Sinon, ne pas obéir à son chef hiérarchique est un motif de licenciement pour faute grave.

[zero]

Sauf dans les entreprises autogérées, c'est « chef, oui chef » qui est de mise.
Sinon, ne pas obéir à son chef hiérarchique est un motif de licenciement pour faute grave.

Oui mais pas totalement. L'ordre doit être légal. On a aussi le "droit de retrait". Le refus moral est aussi parfois pris en compte au cas par cas.
Aussi, la motif de licenciement pour faute grave doit être proportionel à la situation sinon un avertissements. C'est ce que ça donnera aux Prud'hommes si c'est considéré abusif.

Ce message a été modifié par zero - 10 Oct 2018, 04:12.

[Rorqual]

Sauf dans les entreprises autogérées, c'est « chef, oui chef » qui est de mise.
Sinon, ne pas obéir à son chef hiérarchique est un motif de licenciement pour faute grave.

Oui mais pas totalement. L'ordre doit être légal. On a aussi le "droit de retrait".

Tout à fait. En matière de sécurité (risque d'accident), le droit de retrait est aussi primordial. Si le chef dit de grimper sur une chaise roulante posée sur une table pour changer unr ampoule, on se doit de dire non.

[marc_os]

Sauf dans les entreprises autogérées, c'est « chef, oui chef » qui est de mise.
Sinon, ne pas obéir à son chef hiérarchique est un motif de licenciement pour faute grave.

Oui mais pas totalement. L'ordre doit être légal. On a aussi le "droit de retrait". Le refus moral est aussi parfois pris en compte au cas par cas.
Aussi, la motif de licenciement pour faute grave doit être proportionel à la situation sinon un avertissements. C'est ce que ça donnera aux Prud'hommes si c'est considéré abusif.

Sauf dans les entreprises autogérées, c'est « chef, oui chef » qui est de mise.
Sinon, ne pas obéir à son chef hiérarchique est un motif de licenciement pour faute grave.

Oui mais pas totalement. L'ordre doit être légal. On a aussi le "droit de retrait".

Tout à fait. En matière de sécurité (risque d'accident), le droit de retrait est aussi primordial. Si le chef dit de grimper sur une chaise roulante posée sur une table pour changer unr ampoule, on se doit de dire non.

Vous êtes marrants.
Vous remplacez le message auquel je répond par des lapalissades.
Pourquoi donc ?
Je ne vois qu'une explication :
Noyer le poisson ou plutôt le fond de mon message qui est de dire qu'Apple est une entreprise comme les autres, et pas plus dictatoriale que les autres. Et qu'il est donc ridicule de s'acharner sur Apple uniquement. Mais bon, l'objectivité...